Editions Pocket (Origine: Belfond 2001)
774 pages
Kate Malone, New-Yorkaise quarantenaire, enterre sa mère dont, malgré un frère, elle a été seule à prendre soin les dernières années. Les obsèques ramènent Charlie, frère prodigue, mais aussi une femme dont Kate ignore tout.
Sara Smythe la contacte le lendemain, se présentant comme une vieille amie de ses parents et lui donne un manuscrit qui l’aidera à comprendre son rôle dans les origines familiales.
De la jeunesse dorée de la fin de la guerre en 1945 aux heures sombres de la chasse aux sorcières de McCarthy, les destins des Smythe et des Malone vont s’entrecroiser et avoir une influence certaine les uns sur les autres.
La vie, tout simplement, avec ses périodes de bonheur et celles de malheur, influencée par nos choix, bons ou mauvais. Tel est l’objet de ce roman de Douglas Kennedy, découvert avec Quitter le monde, dont je m’étais promis de lire d’autres romans. C’est chose faite. Et je suis emballée. De l’amour, des déceptions, des décisions difficiles à prendre, une vraie connaissance de l’existence que vivent la plupart des gens, même si elle est souvent moins mélodramatique et que nos choix ont des conséquences de moindre impact que ceux des personnages de ce roman.
Et ce livre m’a permis d’en apprendre un peu plus sur ce qu’était les Maccarthysme et comment il avait été vécu. Même si ce n’est pas une période qui grandit l’être humain à mes yeux, j’aurai un peu agrandi ma culture générale…
Commencé le 30 décembre à 16h, je pensais que ce roman constituerait l’objet de ma première chronique 2016, mais il s’avère que, finalement, j’aurai pu boucler mon année avec un roman que j’aurai envie de partager avec vous dès après sa fermeture et me permettre d’ainsi participer, sur le fil, pour le mois de décembre, au Challenge de Bianca, du blog deslivresdeslivres