Chronique d’Amanda
:star: Un amour d’hiver d’Akiva Goldsman
Date de sortie : 12 mars 2014
Durée : 1h58min
Réalisé par : Akiva Goldsman
Avec : Colin Farrell, Peter Lake , Jessica Brown Findlay , Jennifer Connelly , William Hurt, Eva Marie Saint , Graham Greene , Russell Crowe
Genre : Fantastique, romance, drame
Nationalité: AméricainSynopsis :
À New York, au début du XXe siècle, Peter Lake (Colin Farrell), un émigré irlandais sans le sou, cambriole les riches demeures afin de survivre. Il entre un jour par effraction dans la luxueuse maison de la jolie Beverly Penn (Jessica Brown Findlay) et les deux jeunes gens tombent fous amoureux.
Mais parce qu’elle est atteinte de tuberculose, les jours de Beverly sont comptés. Peter tente par tous les moyens de sauver la femme qu’il aime, à travers le temps, luttant contre les forces des ténèbres et surtout contre Pearly Soames (Russell Crowe), son ancien mentor, qui s’acharne à vouloir l’anéantir.
Projeté dans le temps, Peter n’a plus aucun souvenir lorsqu’il rencontre à Central Park, Virginia Gamely (Jennifer Connelly) et sa fille. Intriguée, la jeune femme va l’aider à retrouver la mémoire et à renouer avec son amour perdu…
Sa bande annonce
Mon avis :
Ce film n’a pas eu un très bon accueil lors de sa sortie, il y a plus d’un an.
Beaucoup se moquaient de la niaiserie de l’histoire. Celle-ci reprend le destin extraordinaire d’un jeune homme, John Lake au début du 20ème siècle. Ce jeune cambrioleur trouve un sens à sa vie en tombant amoureux de Beverly Penn qu’il était venu voler.
Pourtant le destin est cruel et plus que la différence de condition sociale, c’est la maladie de la jeune femme qui empêche les amoureux d’être ensemble. En effet Beverly souffre de tuberculose et ses jours sont comptés. John défie le sort et est prêt à tout pour sauver celle qu’il aime quitte à défier le temps lui-même.La chose semble impossible d’autant qu’il doit fuir son mentor, le redoutable et maléfique Pearly Soames.
Au Québec, le titre du film est légèrement différent, il s’agit de « conte d’hiver » et je pense qu’il cerne mieux les prétentions de ce long métrage. Il ne s’agit pas de niaiserie sinon la plupart de nos contes d’enfant peuvent supporter cette étiquette. Le film reprend de manière « facile » les thèmes qui sont récurrents au genre : la lutte du bien contre le mal, l’amour véritable qui survit à la mort. Il y a beaucoup de références bibliques, la présence de Lucifer joué par Will Smith n’étant pas la première. Après tout, le film commence par John bébé que ses parents livrent aux flots pour lui offrir une vie meilleure tel un Moïse moderne. Quant au cheval, il représente bien un ange gardien pour le jeune voleur. Je ne vous parle pas non plus des miracles…
J’ai passé pour ma part un agréable moment avec ce film qui regorge de bons sentiments et cet éternel message que seul l’amour peut transcender la mort.
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Chronique d’Amanda
:star: Un amour d’hiver d’Akiva Goldsman
Date de sortie : 12 mars 2014
Durée : 1h58min
Réalisé par : Akiva Goldsman
Avec : Colin Farrell, Peter Lake , Jessica Brown Findlay , Jennifer Connelly , William Hurt, Eva Marie Saint , Graham Greene , Russell Crowe
Genre : Fantastique, romance, drame
Nationalité: AméricainSynopsis :
À New York, au début du XXe siècle, Peter Lake (Colin Farrell), un émigré irlandais sans le sou, cambriole les riches demeures afin de survivre. Il entre un jour par effraction dans la luxueuse maison de la jolie Beverly Penn (Jessica Brown Findlay) et les deux jeunes gens tombent fous amoureux.
Mais parce qu’elle est atteinte de tuberculose, les jours de Beverly sont comptés. Peter tente par tous les moyens de sauver la femme qu’il aime, à travers le temps, luttant contre les forces des ténèbres et surtout contre Pearly Soames (Russell Crowe), son ancien mentor, qui s’acharne à vouloir l’anéantir.
Projeté dans le temps, Peter n’a plus aucun souvenir lorsqu’il rencontre à Central Park, Virginia Gamely (Jennifer Connelly) et sa fille. Intriguée, la jeune femme va l’aider à retrouver la mémoire et à renouer avec son amour perdu…
Sa bande annonce
Mon avis :
Ce film n’a pas eu un très bon accueil lors de sa sortie, il y a plus d’un an.
Beaucoup se moquaient de la niaiserie de l’histoire. Celle-ci reprend le destin extraordinaire d’un jeune homme, John Lake au début du 20ème siècle. Ce jeune cambrioleur trouve un sens à sa vie en tombant amoureux de Beverly Penn qu’il était venu voler.
Pourtant le destin est cruel et plus que la différence de condition sociale, c’est la maladie de la jeune femme qui empêche les amoureux d’être ensemble. En effet Beverly souffre de tuberculose et ses jours sont comptés. John défie le sort et est prêt à tout pour sauver celle qu’il aime quitte à défier le temps lui-même.La chose semble impossible d’autant qu’il doit fuir son mentor, le redoutable et maléfique Pearly Soames.
Au Québec, le titre du film est légèrement différent, il s’agit de « conte d’hiver » et je pense qu’il cerne mieux les prétentions de ce long métrage. Il ne s’agit pas de niaiserie sinon la plupart de nos contes d’enfant peuvent supporter cette étiquette. Le film reprend de manière « facile » les thèmes qui sont récurrents au genre : la lutte du bien contre le mal, l’amour véritable qui survit à la mort. Il y a beaucoup de références bibliques, la présence de Lucifer joué par Will Smith n’étant pas la première. Après tout, le film commence par John bébé que ses parents livrent aux flots pour lui offrir une vie meilleure tel un Moïse moderne. Quant au cheval, il représente bien un ange gardien pour le jeune voleur. Je ne vous parle pas non plus des miracles…
J’ai passé pour ma part un agréable moment avec ce film qui regorge de bons sentiments et cet éternel message que seul l’amour peut transcender la mort.