Inévitables, lors d'un voyage : les photos estampillées "faune et flore", qui raviront certains et en ennuieront d'autres. Je le fais beaucoup quand je suis à la montagne, parce que les fleurs alpines ont toujours jalonné mes randonnées, depuis l'enfance. Ce sont d'espèces de balises, des repères dans le paysage. Des touches colorées à nos pieds qui nous indiquent parfaitement où on est. Quand je suis en ville, je recherche les parcs et autres jardins pour humer l'air de la cité, pour me rassasier de verdure quand tout n'est que gris et poussière autour de moi. A Paris comme en banlieue, en Grèce, en Espagne ou en Bolivie, les jardins urbains me ressourcent au-milieu de mes fatigantes pérégrinations pédestres. Par extension, quand je me balade, je m'arrête facilement devant un arbre ou une fleur. Cela peut sembler ridicule, disons que j'aime les couleurs et les odeurs de la végétation, qu'elle fait partie du panorama. Donc, dans la série non exhaustive "faune et flore" sur Athènes, et après vous avoir fait part de mes sentiments sur le sort des chats grecs, voici donc quelques images de mon dernier voyage en terre hellène, et en particulier sur l'île d'Egine où j'aime revenir.