Hello everybody ! La fin de l’année approche à grands pas, et j’avais envie de vous faire un petit bilan de l’année écoulée. J’avoue, je ne savais pas trop quel genre de billet je voulais faire, ni de quoi je souhaitais parler exactement dans mon article. Vous afficher pleins de stats avec le nombre de livres et de pages lues… ouais bof. En fait, je ne sais même pas la quantité de pages lues. Je ne sais pas si j’ai lu plus ou moins que l’année dernière, et je m’en contre-fiche ^^
Et donc, après réflexion, j’ai décidé de vous présenter les 5 romans qui m’ont le plus marquée en 2015, en commençant par le 5ème et terminant par mon coup de coeur de l’année.
En cliquant sur l’image, vous arrivez directement sur ma critique complète du livre concerné
Numéro 5 : Le livre de perle, de Timothée de Fombelle
Numéro 4 : Le Choeur des femmes, de Martin Winckler
Un roman qui parle de la condition féminine, de contraception, d’avortement… mais surtout un roman qui parle d’humanité. Un livre que je conseille à toutes… et même tous.Numéro 3 : Anna Karénine, de Léon Tolstoï.
Une histoire de couples qui s’aiment, qui se déchirent, une histoire d’adultère… C’est un roman qui parle de l’amour sous toutes ses formes. Et le tout sur fond de Révolution Russe. Tout simplement passionnant !Numéro 2 : Le temps où nous chantions, de Richard Powers
Cette fois-ci, on part aux Etats-Unis ! Le roman retrace une fresque historique de l’Amérique entre 1939 et la fin du 20ème siècle. On y parle de ségrégation, de droits civiques, de liberté, mais on y parle surtout de musique, qui viendra donner la cadence à cette lecture. Un roman qui m’a touchée pour sa sensiblité.
Numéro 1 : Les raisins de la colère, de John Steinbeck
L’histoire ses déroule aux Etats-Unis dans les années 30, juste après la Grande Dépression et le Crack boursier. Il y est question de migration, de ruée vers la Californie, à la recherche d’un bonheur incertain. Mais il est surtout question d’un roman sacrément visionnaire quant à ce que l’Homme fait de l’exploitation de la terre, des dérives du capitalisme… A l’instar d’autres écrivains de cette époque, comme George Orwell ou Ray Bradbury, le côté visionnaire du récit fait mouche. Sauf que chez Steinbeck, il ne s’agit pas de fantastique ou de Science-Fiction. Un livre que je recommande évidemment à tout le monde !Voilà, j’espère que ce petit billet vous aura donné l’envie de lire au moins un de ces romans. Et je serais curieuse, si vous les avez lus, de savoir si vous les avez appréciés autant que moi.