la Volupté égarée II (essai)

Publié le 11 juin 2008 par Aurore @aurore
L'ELEVATION DE NOS SENS  Si Volupté tu es Psyché Alors je désire être toi Souhaitant me confondre Dans l'existence de mes sens Sentiments nobles, vivre ou mourir Sentiments pures d’amour et d’amitié Sentiments cruels d’orgueil et de vanité Lesquels choisirons nous pour la conquérir ?   Lorsque tu déferles en nous un jet de gloire Ta musique ensorcéle nos chastes oreilles Préférant Mozart en nos nuits de veilles. Quelles puissances oniriques nous harcèlent En ces pensées tourmentées qui nous gouvernent  Nous transportant aux portes des plus hauts espoirs?   Sentiments forts des jeux olympiques Comme si tout est dressé magnifique Sentiments sublimés dans le beau Comme si tout est à fleur de peau   Alors que nous sommes tous tes enfants Dans cette osmose élevée de notre  propre plaisir Alors que l’être terrestre d’un air glorifiant Croie enfin te posséder dans son ultime désir   Volupté dans les jeux de l’amour Volupté des mots et des maux Volupté des mondes invisibles Volupté souveraine de nos jours Voputé de l'exaltation impossible Volupté charnelle extrême cible Tu es l'élévation absolue de nos sens Délivrance éternelle de nos transes.  Ô douce volupté de nos intimes volontés Pénétre nos sources vives de tes bontés. AURORE - 2008  " la volupté des mots est l'Importance car c'est l'Importance de l'impossible inexplicable ! " Aurore - 2008 musique chryss : http://superchryss.over-blog.fr/ Voici un petit travail littéraire que je fais en direct avec vous, j'aime parfois meme souvent écrire un texte et lorsqu'il me semble ne pas avoir été assez profond dans le sens du ressentir le plus intime de mon âme de ma pensée vive. Alors je le retravaille, comme si je voulais vous donner l'impression d'avoir en face de votre écran une image pour un seul mot qui vous fasse ressentir et vibrer de ma pensée.  Parfois je me dis que je ne vais pas encore, pas encore assez loin qu'il me faut continuer à chercher à étudier dans les mots afin que mon écran et le vôtre ne fasse plus qu'un dans cette osmose.