Pétri de paradoxes, l’homme est fascinant. Plus exactement : la romancière en a fait un personnage fascinant à travers ses paradoxes. Elle l’anime comme un être de chair, de sang et de convictions. Il est bien mieux qu’une figure historique. Hilary Mantel s’est autorisé, elle l’explique en fin de volume, quelques libertés avec les faits. Elle pouvait se le permettre : les zones d’ombre de l’Histoire sont l’espace où la fiction s’épanouit. Celle-ci en particulier.
Pétri de paradoxes, l’homme est fascinant. Plus exactement : la romancière en a fait un personnage fascinant à travers ses paradoxes. Elle l’anime comme un être de chair, de sang et de convictions. Il est bien mieux qu’une figure historique. Hilary Mantel s’est autorisé, elle l’explique en fin de volume, quelques libertés avec les faits. Elle pouvait se le permettre : les zones d’ombre de l’Histoire sont l’espace où la fiction s’épanouit. Celle-ci en particulier.