La France a l'herpès. Une maladie contagieuse qu'on contracte au contact des Républicains et du Ps... HERPES
Un trait d'union entre la mauvaise droite et la fausse gauche.
Les deux courants ayant pour principale fonction de transformer toute affection en infection. Les deux nous font la peau... avec leur regroupement de boutons ou leurs boutons groupés, nous n'avons pas fini de nous gratter...
L'herpès... ça démange énormément... maladie virale qui fausse complètement notre vision de l'idéal en transmettant secrètement et sournoisement le mal... le VIRUS de la compromission, de l'association d'éléments malfaisants... Nocifs et hyper réactifs. Ça vous pend au nez, mais ça atteint votre fine bouche et vos beaux yeux.
L'herpès labial, caractérise le mal qui sort de votre bouche, et qui transforme votre langue en langue de vipère. Même votre salive devient fautive... à chaque fois que vous l'ouvrez, vous transmettez le virus, vous le propagez... ça devient une propagande... qui éclaire ou assombrit un peu plus chaque jour votre légende personnelle ou professionnelle.
L'herpès labial c'est le mal des Républicains qui en disent toujours trop ou pas assez... ce sont de mauvaises langues, plus extrêmes que les extrêmes, qui roulent des pelles au diable avant de nous parler de bon Dieu.
Songeons aux sujets, les plus atteints qui nous atteignent : Sarkozy ou Estrosi, deux malades qui n'ont pas fini de développer et de propager la maladie de tous ceux qui ne savent plus, ce que parler veut dire.
Pour ne pas être contaminé par leur vox populi qui a toujours sorti le peuple de son lit, il ne faut les écouter, encore moins les entendre.
Leur parole n'est pas avantageuse, elle est même dangereuse : il ne faut surtout pas la partager... ne pas la relayer.
L'herpès oculaire n'est pas moins délétère. Figurez-vous que l'infection de l'œil par le virus peut conduire à la perte de la vision. C'est l'œuvre ou la manœuvre du socialisme faussaire... qui nous pompe l'air.
Pas la peine de consulter le manuel, il vous suffit d'ausculter Valls... qui nous invite tous les matins du monde, à voir le mal qu'il voit et que nul autre n'a vu mais que nous sommes tous destinés à voir : Apocalypse pour les nuls, l'éclipse définitive de l'esprit.
Voilà un homme qui passe son temps à se rincer l'œil avec nos larmes, qui nous fait pleurer, non pas sur lui, mais sur nous-mêmes.
Le mal, c'est lui. C'est lui, la mort de l'idéal. Avec lui, on plie bagages, on n'est plus à l'âge des grands partages, mais du remue-ménage, du changement qui ne change rien, du mouvement sur place.
Nous : pas bouger !
Les voyants seront toujours au rouge. Parce que la première limace pressent les pires menaces. Il va falloir qu'on s'y fasse, l'état d'urgence est le seul qui convient à la France qui n'a plus confiance en personne.
Avec des Républicains déficitaires et des socialistes faussaires, bientôt nous n'aurons plus rien d'autre à avaler en dehors de leurs pilules amères.
Nous ne serons plus que des boutons regroupés autour de ces deux axes du mal qui en ce dimanche d'élections, ont déjà dit la messe : ils vont l'emporter en alternant les démangeaisons à l'œil et du bout des lèvres.
Attention l'herpès peut provoquer une infection du cerveau : l'encéphalite herpétique...
Pour nous prémunir, il faut empêcher tous les herpésiens de nous conduire... droit dans le mur.