Le danger dimanche n'est ni Versailles, ni le neuf trois jetés en pâtures dans les débats ou sur les affiches. Le danger pour moi est social avec une perte sèche d'un ensemble de compétences et d'actions en direction des franciliens que la droite necesserairement va altérer sinon épuiser. Le danger c'est Pecresse. Il faut prendre la mesure du danger.
Magazine Société
Dimanche je vais retrouver mon bureau de vote pour le présider. Avec le secours de deux amis jene serais pas seul. Dimanche dernier notre bureau avait été déserté par les soutiens des listes de Bartolone et de Pecresse. Aucun PS aucun LR. Ils sont à quelques exceptions près comme le FN sans militant pour tenir les bureaux... et cela s'est reproduit sur de nombreux bureaux de la ville... Et dimanche on fera encore le boulot républicain. Et dimanche j'aurais ce sourire de voir les anticommunistes, anti front de gauche, glisser leur bulletin pour le tête de liste Fabien Guillaud Bataille. Carrier a voté, Bedouret a voté. Ont votés pour un communiste eux qui les abhorrent et qui sur notre territoire les dénoncent pour de pseudos incompétences, mauvaise gouvernance et autres caricatures. Eux qui ont refusé de siéger au Conseil Municipal... Bouffonnerie. Cela sera la seule note d'humour de ce scrutin dont la campagne dans la dernière ligne droite a rejoint les bas-fonds où macèrent les mauvais mots, les mauvais coups comme savent les asséner les petites frappes, les demi sel. Une politique avec des arguments au rébut.