OLED, le noir parfait pour la TV d’aujourd’hui et de demain

Publié le 10 décembre 2015 par Le Monde Numérique @lmn_officiel

Dans le domaine de la télévision, les constructeurs progressent chaque année pour nous proposer des écrans de plus en plus détaillés à l’image des TV Ultra HD 4K aujourd’hui disponibles. Reste à attendre les contenus… Mais au-delà de la définition, toutes les technologies d’affichage ne se valent pas. L’OLED, la dernière en date a plusieurs atouts loin d’être négligeables. 


Depuis les débuts de la télévision, quatre technologies se sont succédées : le tube cathodique (CRT) relayé aujourd’hui dans les musées, le plasma aujourd’hui aussi abandonné pour des histoires de rapport coût/fabrication, le LCD qui tient encore le coup et l’OLED, une technologie d’affichage basée sur des diodes électroluminescentes organiques et notamment utilisé par le constructeur sud-coréen LG.

L’OLED a un incroyable atout : la réactivité de l’affichage. A l’image du Plasma, chaque pixel émet sa propre lumière. Il n’y a pas de rétro éclairage. Cela permet aussi à cette technologie d’apporter un très haut niveau de noir. Aujourd’hui, il s’agit d’ailleurs et sans conteste, des noirs les plus profonds. Dans ces conditions, on est ravi d’apprécier un film sombre comme ceux de Tim Burton mais aussi les trilogies des Batman ou de Star Wars, par exemple. Ainsi, on est à même de capter le réalisme des séquences et toutes les subtilités des différentes scènes parfois extrêmement sombres et qui peuvent manquer de détails sur une télévision avec un affichage LED.

L’image ci-dessus démontre les différences que l’on peut observer entre deux télévisions, l’une, à gauche utilisant le LCD et l’autre, à droite, la technologie OLED. Quand on y a goûté, il est impossible de revenir en arrière. L’affichage est clair, précis et profond atteignant un réalisme de haut vol.

Pour s’en convaincre un peu plus, l’image ci-dessus montre la différence de conception interne d’un téléviseur LCD à côté d’un modèle OLED. A l’image de la pollution lumineuse des grandes villes, le rétro éclairage pollue aussi l’image et ne la rend pas aussi contrastée qu’elle devrait l’être. 

 

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