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19 Novembre 2015, un false flag criard : L'assaut de Saint-Denis.
Publié le 08 décembre 2015 par Raymond_matabosch
19 Novembre 2015, un false flag criard : L'assaut de Saint-Denis.
Avec le faux assaut avéré contre des pseudos terroristes, dans un appartement de Saint Denis, le Président de la République, François Hollande, le Premier Ministre, Manuel Valls, et le Ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, nous ont rejoué l'épisode burlesque mitterrandien, du 4 Octobre 1983, - à cette date François Hollande et Ségolène Royal étaient des conseillers spéciaux, à l'Elysée, de François Mitterrand -, des « Irlandais de Vincennes » qui met en scène, avec la voix de François Hollande, dans un épisode tout aussi grotesque, d'un matin de février 1983, sur France Inter, sous le pseudonyme emprunté de Caton, un discours à base de « Nous la droite... » et « Nous, conservateurs de progrès... » et une attaque contre l'opposition à l'approche des municipales de 1983, sauf que cette fois-ci, avec les hypothétiques sang versé et mort de trois personnes dont les identités ne sont point celles fournies par les autorités civiles et policières et, par elles, toujours tenues secrètes, débouchant sur « un spectacle d'horreurs macabres et sanguinolentes », l'épisode est devenu grand-guignolesque.
Qu'il n'en soit ! Sur cette affaire, la version qui en avait été donnée par le Ministre de l'Intérieur, se révèle être plus que fumeuse et fantaisiste, tout autant que peut l'être le déroulement de l'assaut du Raid, à Saint-Denis, car, suivant des investigations approfondies menées par des journalistes de l'Express, de RMC et de BFMTV :
- Même si le Raid affirme avoir essuyé des « tirs nourris », 'une source très proche des autorités civiles et policières, citée par L'Express, dément un échange de tirs, et selon RMC et BFMTV, la porte de l'appartement n'a jamais été blindée, contrairement à la version du Ministre de l'Intérieur.
- Après l'assaut mené contre l'appartement dans lequel s'étaient retranchés le pseudo Abdelhamid Abaaoud et ses deux pseudo comparses, les policiers n'ont pas mis la main, dans les décombres, sur les armes qu'ils avaient pseudo dû affronter. Et seul un pistolet automatique, une seule arme, qui contraste avec le récit du patron du Raid qui évoque des tirs très nourris, - il est vrai le raid a usé d'une gabegie de balles, plus de 5.000 -, est retrouvé.
- RMC et BFMTV révèlent que la porte de l'appartement, une autre divergence entre le récit de l'assaut et son déroulement réel, n'a jamais été blindée. Pour ces deux médias, « Il ne s'agit que d'une simple porte d'appartement avec une serrure classique », et ces deux médias émettent l'hypothèse que « Le problème viendrait d'une des trois charges explosives du Raid qui ne fonctionna pas, celle qui était placée sur la serrure justement. En conséquence, la porte ne s'ouvrit pas et les policiers perdirent leur effet de surprise. »
- Une source, proche du Raid, citér par L'Express, « dément tous tirs croisés entre policiers lors de l'assaut à Saint-Denis », ce qui contredit les affirmations du Raid qui soutient que « les 'balles venaient d'en face, à l'arme lourde. »
- Enfin, l'expertise balistique du bouclier des forces d'intervention permet d'éclairer le déroulement de l'assaut et, selon RMC, « un bouclier de protection du Raid comporte des impacts de balles à l'intérieur », ce qui accrédite la thèse que les policiers, ce faisant des blessés parmi les forces de l'ordre, se sont entre-tirés dessus pendant l'assaut.
En conclusion, l'assaut, donné le 19 Novembre 2015, sur un appartement de Saint-Denis, est un false flag criard mal négocié par le Président de la République, François Hollande, par le Premier Minsitre, Manuel Valls, qui en a rabattu plein les oreilles aux députés afin qu'ils votent, ainsi sous la contrainte, la prorogation à 12 jours plus 3 mois de l’État d'urgence, et au Ministre de l'Intérieur, qui a fait avalé des couleuvres grosses, comme des boas, aux français. Qui plus, cet assaut totalement bidon, de toute évidence commandité, interpelle sur les assassinats perpétrés par des français, - qui ont permis à François Hollande de décréter l'Etat d'urgence et de transformer la République française en Etat policier et dictatorial aux veilles des élections régionales où le Parti Socialiste à pris une nouvelle déculottée -, et non les attentats, commandités par des français et revendiqués par des français, les frères Clain qui sont connus des services de renseignement pour être des extrémistes et, durant une époque, colleurs d'affiche pour le Parti Socialiste, et porte interrogation sur leur véracité extrémiste-djihadiste...