[CRITIQUE] Le voyage d’Arlo

Par Elodie11 @EloFreddy

Réalisé par: Peter Sohn

Durée: 1h34

Genre: Animation

Date de sortie cinéma: 14 Novembre 2015

Speech

Et si la catastrophe cataclysmique qui a bouleversé la Terre et provoqué l’extinction des dinosaures n’avait jamais eu lieu ? Et si les dinosaures ne s’étaient jamais éteints, et vivaient parmi nous de nos jours ?  
Arlo, jeune Apatosaure au grand cœur, maladroit et craintif, qui va faire la rencontre et prendre sous son aile un étonnant compagnon : un petit garçon sauvage, très dégourdi, prénommé Spot.

Critique

Si graphiquement le héros de ce voyage n’inspirait pas vraiment espoir dans la bande annonce, le film quand à lui ravive la magie Disney dans toute sa splendeur d’autrefois.

Le voyage d’Arlo est un superbe récit qui avec une simplicité déconcertante vient nous cueillir et nous bercer entre rires et larmes.

Un parfum de nostalgie plane sur ce Pixar, ainsi on peut parfois s’attendre à voir cavaler Mufasa ou encore Tarzan. Quelques clichés recyclés qui feront tout de même plaisir aux fans ravis de retrouver les valeurs des anciens Disney.

Malgré tout, on pourrait reprocher à Pixar d’accentuer le rôle de la grande Faucheuse bien plus présente que dans ses autres récits. Plus sombre, on pourrait parfois frôler le désenchantement mais c’est sans compter la magie de Disney qui reprend très vite le dessus en nous rattachant une fois de plus aux valeurs essentielles qui font de ce nouveau film d’animation une vraie merveille.

Une émotion sublimée par des paysages d’une beauté époustouflante et réaliste et par 2 héros très attachants qu’on peine à quitter. Bref une pépite magique de plus au pays de Disney qu on savoure les yeux grands ouverts.

Malgré un départ plutôt mitigé, le Voyage d’Arlo nous transporte dans un récit riche en émotion qui renoue avec la tradition des anciennes créations Disney. Une surprise sublimement emballée pour réveiller la magie de noël. On ne peut que saluer une fois de plus la prouesse technique de Pixar qui décidément a plus d’un tour dans son sac. Vivement le prochain !

Votre dévoué Freddy

Note: