L'artiste et photographe allemande Claudia
Rogge est obsédé par la mosaïque humaine. Elle assemble des corps
comme numérotés pour en créer un motif infini. Dans ses travaux, une
fascination esthétique rare et une philosophie qui est un défi direct à
ceux qui ne voient dans les masses inconnues qu'une statistique, un
nombre silencieux ou, plus mauvais, un magma désagréable desquels doit
émerger pour être "quelqu'un".
La grande masse
est souvent associée aux moments négatifs ou aux concepts malheureux
tels que l'esclavage, l'expérimentation génétique, les dictatures, la
peste, ou des camps de concentration.
Claudia
Rogge explique qu'au contraire les masses des personnes peuvent
être fortes et surtout belles.
Mes sources...