Comme l'attente est mortelle
Les pensées, obsédantes
La négation, pénétrante.
Jusqu'à perdre mes ailes
Je marchais dans la peur
Recherchant la moindre lueur
Ce sont les dernières heures
Ne me restent que mes pleurs.
(10.06.08)
Comme l'attente est mortelle
Les pensées, obsédantes
La négation, pénétrante.
Jusqu'à perdre mes ailes
Je marchais dans la peur
Recherchant la moindre lueur
Ce sont les dernières heures
Ne me restent que mes pleurs.
(10.06.08)