Ce qui me surprend dans ce livre, c'est la franchise des propos. Il n'y a pas de place pour le diktat de la morale ici ou pour une vision de ce qui pourrait être le bien. Les personnages disent ce qu'ils ont sur le cœur, et font selon leur gré. Et cela se passe bien. Surtout, cela me frappe souvent dans le roman anglais, c'est fou ce qu'il y a de vie dans ce livre. J'ai l'impression qu'en France on cherche à atteindre des vérités éternelles. Du coup, on fait du sec et du vide. En Angleterre, on parle de soi, et on touche quelque chose d'universel...
Ce qui me surprend dans ce livre, c'est la franchise des propos. Il n'y a pas de place pour le diktat de la morale ici ou pour une vision de ce qui pourrait être le bien. Les personnages disent ce qu'ils ont sur le cœur, et font selon leur gré. Et cela se passe bien. Surtout, cela me frappe souvent dans le roman anglais, c'est fou ce qu'il y a de vie dans ce livre. J'ai l'impression qu'en France on cherche à atteindre des vérités éternelles. Du coup, on fait du sec et du vide. En Angleterre, on parle de soi, et on touche quelque chose d'universel...