Bangkok Riviera, héritage assumé du Velvet et Modern Lovers

Publié le 30 novembre 2015 par Dookiz @merseysideband

Découverte d’un groupe normand aux influences d’indie rock américain des 70′s qui a déjà tout d’un grand. A suivre de près.

Voilà une bonne réjouissance musicale en ces temps moroses. Avec son nom qui sent bon les vacances, c’est pourtant en Normandie qu’il faut aller trouver Bangkok Riviera. Rien dans leur musique ne laissait présager qu’ils défendraient pourtant nos couleurs tant leurs compositions rendent un merveilleux hommage au rock indé américain. Impossible de ne pas penser au Velvet Underground, notamment avec le tubesque Personal Cocaine Gain. Ce morceau puissant et rondement mené fleure bon les années 70. Sa prod assez surf-music nous emmène tout droit dans de chaudes contrées au milieu de ces riffs accrocheurs, son clavier old school et son solo de guitare crado. Tout est réuni pour un titre qui s’affiche parmi les plus réjouissants de l’année. Non, on n’a pas peur, on assume !

Le reste de l’EP montre la diversité du groupe à surfer sur les traces du rock noisy de Crocodiles (pour citer une référence récente), donc du Velvet, mais également des Modern Lovers de Jonathan Richman dont ils revendiquent l’influence. Un vrai coup de cœur que l’on vous encourage à suivre.

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Découverte d’un groupe normand aux influences d’indie rock américain des 70′s qui a déjà tout d’un grand. A suivre de près.

Voilà une bonne réjouissance musicale en ces temps moroses. Avec son nom qui sent bon les vacances, c’est pourtant en Normandie qu’il faut aller trouver Bangkok Riviera. Rien dans leur musique ne laissait présager qu’ils défendraient pourtant nos couleurs tant leurs compositions rendent un merveilleux hommage au rock indé américain. Impossible de ne pas penser au Velvet Underground, notamment avec le tubesque Personal Cocaine Gain. Ce morceau puissant et rondement mené fleure bon les années 70. Sa prod assez surf-music nous emmène tout droit dans de chaudes contrées au milieu de ces riffs accrocheurs, son clavier old school et son solo de guitare crado. Tout est réuni pour un titre qui s’affiche parmi les plus réjouissants de l’année. Non, on n’a pas peur, on assume !

Le reste de l’EP montre la diversité du groupe à surfer sur les traces du rock noisy de Crocodiles (pour citer une référence récente), donc du Velvet, mais également des Modern Lovers de Jonathan Richman dont ils revendiquent l’influence. Un vrai coup de cœur que l’on vous encourage à suivre.

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