Depuis cette nuit du 13 novembre, je ne suis quasiment pas sortie de chez moi. Je pourrais me forcer, m’asseoir à la terrasse d’un café, faire acte de résistance, montrer que la peur ne me paralyse pas. Je ne pense pas être plus lâche qu’un autre, c’est juste que le cœur n’y est plus. LeLire la suite