Où l’on apprend qu’au PS, il est interdit de ne pas être d’accord avec la ligne officielle de Solférino, indexée sur celle du gouvernement, sous peine d’être convoqué devant le Tribunal du Parti Unique de la seule gauche (pourtant vérolée par le libéralisme et l’autoritarisme), autorisée en France…
Et pourtant, ils ne faisaient qu’ exprimer leurs convictions, et entendaient combattre les effets néfastes, si prévisibles, de l’état d’urgence. Mais il semblerait que dans ce parti, on n’apprécie plus guère la démocratie, et que sous la pression de l’émotion liée aux attentats, on préfère reprendre sans vergogne les propositions du FN… Agir ainsi, c’est précipiter sa perte. L’avenir le démontrera.