Depuis 1960, l’identité Ma’Ohi s’affirme avec véhémence. Les jeunes Polynésiens cherchent et revendiquent leurs racines, et l’on vit depuis, un renouveau qui s’exprime dans l’Art sous toutes ses formes. La Danse, le Chant, la sculpture et surtout, porte flambeau de leur Identité, le Tatouage. Affirmation plutôt que revendication, le tatouage réunit de plus en plus de suffrages, il est la signature de la culture Ma’Ohi. Le Heiva, les grandes fêtes de Juillet, avec les spectacles de danses et de chants, les concours sportifs et artisanaux, contribuent largement à al diffusion et la re-connaissance de cette Culture. 1975, l’Académie voit le jour, le Reo’Maori est mis en exergue, une grammaire est publiée, la langue des Ancêtres continuera à vivre, les Marquisiens ont également depuis peu leur Académie.
Depuis 1960, l’identité Ma’Ohi s’affirme avec véhémence. Les jeunes Polynésiens cherchent et revendiquent leurs racines, et l’on vit depuis, un renouveau qui s’exprime dans l’Art sous toutes ses formes. La Danse, le Chant, la sculpture et surtout, porte flambeau de leur Identité, le Tatouage. Affirmation plutôt que revendication, le tatouage réunit de plus en plus de suffrages, il est la signature de la culture Ma’Ohi. Le Heiva, les grandes fêtes de Juillet, avec les spectacles de danses et de chants, les concours sportifs et artisanaux, contribuent largement à al diffusion et la re-connaissance de cette Culture. 1975, l’Académie voit le jour, le Reo’Maori est mis en exergue, une grammaire est publiée, la langue des Ancêtres continuera à vivre, les Marquisiens ont également depuis peu leur Académie.