Matous raient, fêlent Rien ne résiste Me font querelle Les terroristes !
Ma poterie
Ont fait tomber Par minutie L'ai recollée Le canapé Subit les griffes L'ai protégé Des agressifs Pourtant ne peut M'en séparer Leurs petits yeux Me font craquer La dame en fer Ignore ici Que damne enfer Des chats chéris Matous raient, fêlent Bêtises à scier Mes rituels De la journéeÉtroit, sans maître
Est mon logisJe sais admettre
Leurs facéties
Mater matous
Ne le puis pointSont mes bijoux
Suis sans conjoint...