Chronique réalisée par Rose
:star: Les sœurs Clemens Tome 4 : Passion épistolaire de Leda Swann
Nombre de pages : 288 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 7 octobre 2015
Collection : Aventures & Passions (Sensualité)
Langue : Français
ISBN-10 : 229009742X
ISBN-13 : 9782290097427
Prix Éditeur : 6,60 €
Disponible sur Liseuse :OuiSon résumé :
Infirmière à Londres, Beatrice accepte de correspondre avec le capitaine Percival, compagnon d’armes de son frère cantonné dans le Transvaal. En ces temps de guerre, comment refuser un peu de réconfort à un soldat sans famille ? Les lettres courtoises au début deviennent peu à peu plus tendres, et même érotiques. Troublée par les mots osés qui l’enflamment, Beatrice s’enhardit et décrit à son tour ses fantasmes les plus intimes. Après tout, que risque-t-elle ? Percival est à des milliers de kilomètres et elle doit bientôt épouser le très sérieux Dr Hyde… Jusqu’au jour où le capitaine rentre à Londres et vient la voir.
Mon avis :
C’est d’une jolie idée que part Leda Swann : raconter comment les sentiments évoluent à une époque où la plume était le seul moyen de donner des nouvelles. Un homme et une femme qui ne se connaissent pas, chacun solitaire, le premier dans une région en guerre, la seconde dans l’hôpital où elle travaille. Car Beatrice, même si elle est entourée (par ses patients, par ses collègues, par ses amies), n’en reste pas moins une jeune femme solitaire. Pragmatique, elle est persuadée que dans sa condition (pas de dot, pas de famille), un mariage de convenance est le mieux qu’elle puisse avoir. Et lorsque le Dr Hyde lui demande la permission de lui faire la cour, de manière très civilisée, elle accepte, même si elle se rend bien compte du peu d’effet qu’il a sur elle.
J’ai trouvé que la passion épistolaire aurait pu prendre davantage de place dans le roman (un peu court pour être tout à fait satisfaisant, à vrai dire). Nos deux héros s’écrivent très vite, et on n’a pas le temps de les connaître bien et de les apprécier qu’on passe à des passages plus olé-olé. On aurait aimé qu’il prenne plus de temps, qu’ils se cherchent un peu peut-être, avant d’entamer une relation plus poussée.
Le deuxième chose, qui est un peu redondant, c’est que la jeune femme ne se décide pas. C’est oui, c’est non, c’est plus tard, c’est maintenant… Ça appuie bien le proverbe Souvent femme varie ! D’un autre côté, l’histoire aurait été encore plus courte s’il n’y avait pas eu cette hésitation constante.
Tout ça pour dire qu’une balance entre ces deux points aurait permis une histoire plus prenante et passionnante.
Acheter ce livre chez J’ai Lu Pour Elle
Chronique réalisée par Rose
:star: Les sœurs Clemens Tome 4 : Passion épistolaire de Leda Swann
Nombre de pages : 288 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 7 octobre 2015
Collection : Aventures & Passions (Sensualité)
Langue : Français
ISBN-10 : 229009742X
ISBN-13 : 9782290097427
Prix Éditeur : 6,60 €
Disponible sur Liseuse :OuiSon résumé :
Infirmière à Londres, Beatrice accepte de correspondre avec le capitaine Percival, compagnon d’armes de son frère cantonné dans le Transvaal. En ces temps de guerre, comment refuser un peu de réconfort à un soldat sans famille ? Les lettres courtoises au début deviennent peu à peu plus tendres, et même érotiques. Troublée par les mots osés qui l’enflamment, Beatrice s’enhardit et décrit à son tour ses fantasmes les plus intimes. Après tout, que risque-t-elle ? Percival est à des milliers de kilomètres et elle doit bientôt épouser le très sérieux Dr Hyde… Jusqu’au jour où le capitaine rentre à Londres et vient la voir.
Mon avis :
C’est d’une jolie idée que part Leda Swann : raconter comment les sentiments évoluent à une époque où la plume était le seul moyen de donner des nouvelles. Un homme et une femme qui ne se connaissent pas, chacun solitaire, le premier dans une région en guerre, la seconde dans l’hôpital où elle travaille. Car Beatrice, même si elle est entourée (par ses patients, par ses collègues, par ses amies), n’en reste pas moins une jeune femme solitaire. Pragmatique, elle est persuadée que dans sa condition (pas de dot, pas de famille), un mariage de convenance est le mieux qu’elle puisse avoir. Et lorsque le Dr Hyde lui demande la permission de lui faire la cour, de manière très civilisée, elle accepte, même si elle se rend bien compte du peu d’effet qu’il a sur elle.
J’ai trouvé que la passion épistolaire aurait pu prendre davantage de place dans le roman (un peu court pour être tout à fait satisfaisant, à vrai dire). Nos deux héros s’écrivent très vite, et on n’a pas le temps de les connaître bien et de les apprécier qu’on passe à des passages plus olé-olé. On aurait aimé qu’il prenne plus de temps, qu’ils se cherchent un peu peut-être, avant d’entamer une relation plus poussée.
Le deuxième chose, qui est un peu redondant, c’est que la jeune femme ne se décide pas. C’est oui, c’est non, c’est plus tard, c’est maintenant… Ça appuie bien le proverbe Souvent femme varie ! D’un autre côté, l’histoire aurait été encore plus courte s’il n’y avait pas eu cette hésitation constante.
Tout ça pour dire qu’une balance entre ces deux points aurait permis une histoire plus prenante et passionnante.
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