Il était posé là comme ça en chevalet coincé par un petit caillou qui m’appartient. E S C R O C écrit en gros. ES, mes initiales, plus loin CROC, comme mes canines qui dépassent de ma dentition non-alignée, les mêmes que celles de Diesel (clic).
Paradiso.
J’ai découvert ce mot au retour de ma pause déjeuner de 3 heures comme d’habitude.
Qui a bien pu me mettre à jour ?
Cette collègue tombée par hasard sur un article du blog consacré aux FINTECH et qui m’a gratifié l’autre jour d’un inquiétant « J’ai vu ton article et pas que moi d’ailleurs… ».
Serait-ce ma femme qui aurait découvert mes infidélités au boulot, ces pizzas à la pâte moelleuses de la cantine que je trouve bien plus à mon goût que ses miches du dimanche ?
Y a-t-il un lien avec ce pot de départ auquel je n’ai pas contribué par oubli ou radinerie ?
Ou bien alors c’est un sportif qui connaît mes tendinites et qui ne comprend pas pourquoi je reste auréolé de cet aura de grand champion.
Tout est possible. En tout si je meurs assassiné à la piscine de Sartrouville samedi vous saurez que #jenesuispasrobertboulin. Enquêtez pour moi.
PS : cette histoire réelle n’est pas inventée et j’aimerais bien savoir qui est l’auteur de cette bonne blague. Dénoncez-vous ou j’appelle la BRI qui fera sauter le plancher de votre appart’ !