Si.
Si c’est vrai et si c’est avéré.
Si c’est la vérité.
Si toutes ces conditions sont réunies, mais qu’est-ce qu’il lui est passé par la tête?
Un p’tit coup de queue, sur un coup de tête?
Il fonce, tête baissée, il la perd, la tête.
Et bardaf, l’embardée, tête-à-queue…
Fausse queue, les pieds dans le tapis déchiré.
Tête de linotte, qui s’est fait avoir sur une queue de poisson.
Piégé dans un solide casse-tête.
Lui jurera sur sa tête que ce sont des queues de cerises.
Il était number one pour prendre la tête de l’état, et à force de tirer le diable par la queue, la tête tombe.
Les autres se pressent, à la queue leuleu.
Certains avec une immense envie de lui faire une tête au carré.
D’autres réclament sa tête sur le billot.
Lui, tête basse, la queue entre les jambes.
Cible des chasseurs de tête à claques.
Balayé d’un coup de queue.
Mal de tête, comme assommé par une queue de billard.
La tête de pont est en queue de classe.
Finis les galas en queue de pie, la tête auréolée de gloire.
Il est nu-tête maintenant.
Le pavillon à tête de mort est hissé.
Le piano à queue joue la marche funèbre.
Puni par où il pêche, le serpent se mord la queue.
La tête mise à prix, pour des queues de radis.
Xavier, la tête sur les épaules.