Ce fut terrible, mais ce n'était pas la terreur...
Quelques bras d'honneur, un bras de fer... Mais certainement pas la guerre.
Et si nos gouvernants disent le contraire, c'est parce qu'ils ont envie de la faire...Les terroristes ont mis le feu, mais ils n'ont pas mis fin à l'essence de la Foi, de l'intelligence, de l'espérance.
Les miséreux croient agir au nom de Dieu en s'en prenant aux hommes... les misérables croient agir au nom des hommes en incriminant leur Dieu...
Ils sont coupables, nous sommes responsables...
Parce que notre politique depuis quelque décennie n'a rien fait d'autre que nous créer des ennemis, à l'extérieur mais surtout à l'intérieur.
Le plus grand danger n'est pas derrière, mais devant : c'est NOUS !Ce n'est pas la fin du monde, mais la fin d'un monde où un petit nombre se moquait allègrement du plus grand nombre... la peur a désormais changé de camp... les impuissants qui se font exploser, font aussi exploser la sérénité des grandes puissances, leur incroyable insouciance...
Ça ne va plus s'arrêter... ici... là... ou là-bas...
À cause de ces abîmes que nous avons nous-mêmes creusés... avec nos régimes...
Et quand ce sera vraiment l'enfer... on saura enfin qu'il y avait un paradis... et que nous n'y avons pas cru... ou pas assez !