La fierté d’une femme de Mary Wine

Chroniqué par Amanda Jajoratine

:star: Terres d’Écosse Tome 3 : La fierté d’une femme de Mary Wine

Nombre de pages : 404 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 21 Octobre 2015
Collection : Aventures & Passions
Langue : Français
ISBN-10: 2290117056
ISBN-13: 978-2290117057
Prix Éditeur : 7,40 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Lire un extrait du roman

Son résumé :

Déshonorée, Deirdre Chattan vit enfermée dans un cloître, sans perspective d’avenir. Aussi lorsque la reine Jeanne, en fuite, vient frapper à la porte du couvent pour demander son aide, elle n’hésite pas. Les deux femmes se ressemblent et, si Deirdre se substitue à la reine, celle-ci espère leurrer ses poursuivants écossais. La jeune fille part donc avec l’escorte royale, mais ne tarde pas à être capturée par Quinton Cameron. Le laird la démasque aussitôt. Fasciné par sa hardiesse, il refuse de la libérer, sans cacher le désir qu’elle lui inspire. Trahie par sa nature sensuelle, Deirdre s’abandonne dans les bras du séduisant Highlander, tout en sachant qu’elle devra tôt ou tard trouver la force de lui échapper.

Mon avis :

Je découvre cette auteure avec le troisième tome de la série Terre d’Écosse. Le fait que je n’ai pas lu les deux premiers tomes ne m’a pas gêné dans ma lecture. Il y a quelques allusions qui ne gênent pas la compréhension globale du récit.

Deirdre est une fière Écossaise qui s’est vu disgraciée après avoir « fauté » avec un homme qui lui promettait le mariage. Celui-ci se servait uniquement d’elle pour atteindre le fiancé de cette dernière et l’humilier. La jeune femme végète dans un couvent pour laver sa faute.

C’est un personnage fort qui porte le roman. Il s’agit d’une femme au caractère haut en couleur et tempétueuse qui ne vit pas dans la honte. Elle assume sa faute et la seule chose qu’elle regrette est d’avoir été trahi par l’homme qui disait l’aimer. Elle croise la route de la reine Jeanne qui elle aussi cherche à contrecarrer le destin qu’on lui impose. Les deux femmes se comprennent et Deirdre décide de l’aider en endossant son identité pour lui permettre de semer ses poursuivants.

Il s’agit du postulat de départ. Cela va lui permettre de recroiser la route de Quinton Cameron qui cherche la reine. Ces deux-là se sont déjà rencontrés dans le tome précédent et ont eu l’occasion d’échanger un baiser passionné. Il y a une alchimie très forte entre eux qu’aucun ne nie. Cependant Deirdre fuit cette attirance qui l’amènerait à commettre les mêmes fautes que par le passé.
Alors j’ai beaucoup aimé le début de ma lecture. La belle Écossaise est une femme qui assume ses envies et ses désirs même si ceux-ci l’ont emmenés au couvent. Les dialogues avec Quinton sont vraiment savoureux. Je ne résiste pas à vous en donner un aperçu :

« — Je ne suis pas du genre à m’excuser pour des actions que j’ai délibérément commises.
— Dans ce cas, tu pourrais cesser aussi de parler comme si nous étions condamnés à la damnation éternelle pour avoir simplement tiré plaisir des corps que Dieu nous a donnés.
Elle rejeta ses cheveux par-dessus son épaule et le foudroya du regard.
Et moi j’aimerais que tu arrêtes de te comporter comme si le simple fait d’avoir réchauffé ton membre entre mes cuisses était digne de nous valoir à tous deux l’entrée au paradis. »

Tous les deux sont des fortes têtes et on a vraiment des conversations sous forme de joute verbale. J’ai donc très vite accroché mais… le rythme n’est pas toujours celui du début. Il est assez inégal. Certains moments m’ont paru très intenses tandis que d’autres m’ont paru très longs. J’ai donc un sentiment mitigé .

Certains éléments de l’intrigue m’ont semblé artificiels. Les clans écossais ont certainement une organisation que je ne maîtrise pas totalement mais l’auteure en propose un fonctionnement improbable… Au final, nous avons d’un côté de beaux personnages avec des répliques vraiment savoureuses et de l’autre un récit inégale dans le rythme et une intrigue faible.

Une découverte agréable mais qui ne m’a pas totalement convaincue.

Acheter ce livre sur Amazon

 

Chroniqué par Amanda Jajoratine

:star: Terres d’Écosse Tome 3 : La fierté d’une femme de Mary Wine

Nombre de pages : 404 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 21 Octobre 2015
Collection : Aventures & Passions
Langue : Français
ISBN-10: 2290117056
ISBN-13: 978-2290117057
Prix Éditeur : 7,40 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Lire un extrait du roman

Son résumé :

Déshonorée, Deirdre Chattan vit enfermée dans un cloître, sans perspective d’avenir. Aussi lorsque la reine Jeanne, en fuite, vient frapper à la porte du couvent pour demander son aide, elle n’hésite pas. Les deux femmes se ressemblent et, si Deirdre se substitue à la reine, celle-ci espère leurrer ses poursuivants écossais. La jeune fille part donc avec l’escorte royale, mais ne tarde pas à être capturée par Quinton Cameron. Le laird la démasque aussitôt. Fasciné par sa hardiesse, il refuse de la libérer, sans cacher le désir qu’elle lui inspire. Trahie par sa nature sensuelle, Deirdre s’abandonne dans les bras du séduisant Highlander, tout en sachant qu’elle devra tôt ou tard trouver la force de lui échapper.

Mon avis :

Je découvre cette auteure avec le troisième tome de la série Terre d’Écosse. Le fait que je n’ai pas lu les deux premiers tomes ne m’a pas gêné dans ma lecture. Il y a quelques allusions qui ne gênent pas la compréhension globale du récit.

Deirdre est une fière Écossaise qui s’est vu disgraciée après avoir « fauté » avec un homme qui lui promettait le mariage. Celui-ci se servait uniquement d’elle pour atteindre le fiancé de cette dernière et l’humilier. La jeune femme végète dans un couvent pour laver sa faute.

C’est un personnage fort qui porte le roman. Il s’agit d’une femme au caractère haut en couleur et tempétueuse qui ne vit pas dans la honte. Elle assume sa faute et la seule chose qu’elle regrette est d’avoir été trahi par l’homme qui disait l’aimer. Elle croise la route de la reine Jeanne qui elle aussi cherche à contrecarrer le destin qu’on lui impose. Les deux femmes se comprennent et Deirdre décide de l’aider en endossant son identité pour lui permettre de semer ses poursuivants.

Il s’agit du postulat de départ. Cela va lui permettre de recroiser la route de Quinton Cameron qui cherche la reine. Ces deux-là se sont déjà rencontrés dans le tome précédent et ont eu l’occasion d’échanger un baiser passionné. Il y a une alchimie très forte entre eux qu’aucun ne nie. Cependant Deirdre fuit cette attirance qui l’amènerait à commettre les mêmes fautes que par le passé.
Alors j’ai beaucoup aimé le début de ma lecture. La belle Écossaise est une femme qui assume ses envies et ses désirs même si ceux-ci l’ont emmenés au couvent. Les dialogues avec Quinton sont vraiment savoureux. Je ne résiste pas à vous en donner un aperçu :

« — Je ne suis pas du genre à m’excuser pour des actions que j’ai délibérément commises.
— Dans ce cas, tu pourrais cesser aussi de parler comme si nous étions condamnés à la damnation éternelle pour avoir simplement tiré plaisir des corps que Dieu nous a donnés.
Elle rejeta ses cheveux par-dessus son épaule et le foudroya du regard.
Et moi j’aimerais que tu arrêtes de te comporter comme si le simple fait d’avoir réchauffé ton membre entre mes cuisses était digne de nous valoir à tous deux l’entrée au paradis. »

Tous les deux sont des fortes têtes et on a vraiment des conversations sous forme de joute verbale. J’ai donc très vite accroché mais… le rythme n’est pas toujours celui du début. Il est assez inégal. Certains moments m’ont paru très intenses tandis que d’autres m’ont paru très longs. J’ai donc un sentiment mitigé .

Certains éléments de l’intrigue m’ont semblé artificiels. Les clans écossais ont certainement une organisation que je ne maîtrise pas totalement mais l’auteure en propose un fonctionnement improbable… Au final, nous avons d’un côté de beaux personnages avec des répliques vraiment savoureuses et de l’autre un récit inégale dans le rythme et une intrigue faible.

Une découverte agréable mais qui ne m’a pas totalement convaincue.

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