PARIS, par Charles-Éric Perrin Gimet
Alors que décembre approche et que le prochain hiver se fait encore attendre, les éditions Edilivre elles n’attendent pas pour lancer leur 3e édition du concours à succès « 48 h pour écrire ».
Inspiré par Jack Bauer et ses « 24 heures chrono » mais surtout par le célèbre « The 48 Hours Film Project » destiné aux adeptes de courts-métrages, Edilivre lance à nouveau le défi aux auteurs francophones.
A quelques détails près, tout est dans le titre. Pour les amateurs d’écriture les plus acharnés (et les autres), le concours qui a enchanté plus de 2100 participants l’année dernière réitère en 2015.
Organisé une nouvelle fois en partenariat avec Post-it, Studyrama, Didactibook, Yousribe et le magazine Books, ce concours de nouvelle est basé sur un principe simple et efficace : le thème que devront obligatoirement respecter les auteurs est annoncé le 20 Novembre à 19h et tous devront rendre leurs copies, au plus tard, le 22 novembre à 19h soit 48 heures après.
Chaque membre du jury, composé d’écrivains amateurs mais aussi de professionnels de l’édition et du livre, aura jusqu’au 21 Janvier 2016 pour annoncer les dix nouvelles finalistes.
Ce n’est qu’après cette première annonce que le jury sélectionnera les trois auteurs gagnants parmi les finalistes et que le public sera appelé à voter sur Facebook pour élire le Prix du Public.
D’un point de vue purement technique, les nouvelles, pour être recevables, ne devront pas excéder les 10 000 signes, être écrites en Time New Roman (Taille 12), ne comporter aucune photo ou image, et être absolument anonymes.
Celles-ci devront être impérativement envoyées avant le dimanche 22 novembre 2015 19h en format Word ou PDF.
Avec plus de 6000 € de prix à partager, les adeptes de la prose (ou du vers, les poèmes étant aussi acceptés) risquent d’êtres nombreux.
Pour les curieux, le site de Edilivre vous expose déjà tous les détails du concours et, pour les plus téméraires, rendez-vous vendredi 20 Novembre 2015 pour connaître le thème de cette 3e édition de « 48 heures pour écrire » qui s’annonce dors et déjà, électrique.
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