Parler de corruption, ça vous tente ?

Quand je vous dis Transparency International (TI), à quoi pensez-vous ?

Cette année, j’avais choisi de passé une journée de mécénat de compétence chez eux en raison de mon intérêt personnel et professionnel pour le thème de leurs missions. Le résultat est gagnant-gagnant. J’ai pu approfondir mes connaissances sur la corruption en les aidant à revoir l’aspect pédagogique de leur formation sur le sujet.

J’avais envie de partager ce que j’en ai retiré.

Le point commun entre Transparency International et Nicomak, c’est le sujet de l’éthique des affaires. La complémentarité entre nos deux organisations réside, elle, dans la diversité des méthodes. D’un coté l’approche de TI orientée vers un management des risques (financier, stratégique, réglementaire, de réputation…) et de l’autre, une vision tournée vers la mise en pratique des valeurs dans le management lors de situations complexes où la règlementation n’apporte pas de réponse.

Il n’y a pas, de mon point de vue, une meilleure ou moins bonne manière d’avancer sur les enjeux de corruption, de transparence et de justice économique. Il s’agit, pour être efficace, de construire un accompagnement sur mesure en fonction de la culture de l’organisation.

Pour transformer les pratiques des organisations sur des enjeux si sensibles, le premier levier est déjà d’ouvrir les discussions en interne ! Qu’en est-il chez-vous ?