Il paraîtrait...

samedi 7 novembre 2015- que l’écriture quotidienne est un travail journalier, un réel plaisir, une agréable tâche, une douce besogne. Et je ne confonds pas labeur et cul de la fermière. Néanmoins, l’activité est chronophage, et, je sais que ça peut surprendre, je sais que ça va en étonner quelques-uns, mais ilparaitrait ne s’écrit pas tout seul. Il y a des doigts et un clavier derrière ce triptyque à excipit itératif, et parfois même un cerveau qui anime les doigts qui s’agitent sur le clavier. Depuis la rentrée, ilparaitrait s’était déjà éclipsé le dimanche prétextant un nécessaire repos dominical, il sera désormais muet aussi le samedi afin de profiter du weekend entier, du repos de fin de semaine complet, de deux jours off consécutifs après le vendredi et juste avant le lundi, et, de qui il sait. Mais il restera présent du lundi au vendredi, ce qui lui laissera cinq beaux jours pour commenter les aléas de cette vie terrienne que nous partageons tous ensemble. Pour résumer, ce samedi est mon dernier samedi et les autres samedis seront d’autres samedis, ça me dit. - que ce samedi est mon dernier samedi et les autres samedis seront d’autres samedis…ça me dit. - que ce samedi est mon dernier samedi et les autres samedis seront d’autres samedis…ça me dit.