Je me souviens avoir chroniqué un petit livre, léger, aéré, et aux prétentions fort toute limitées pour le Magazine des livres. Ce livre était sorti en 2004, dans un grand bruit fracassant, comme on en connaît depuis déjà des années. On disait à l'époque que le livre de Corinne Maier dressait un constat sombre sur les rapports entreprise-salariés, sans proposer de remède. Ce n'est pas faux. Et c'est sûrement ce qui en limite sa portée. D'un autre côté, on ne peut être le juge et le jury. J'expose le constat, pour le reste les choses se feront dans le silence des transformations invisibles. Je remets cette chronique en ligne ici.