Des tampons toxiques
Chlore, pesticides, amidon... les tampons des femmes transportent presque plus d'éléments toxiques que les fruits et légumes ! Idée écolo pour y remédier : se fourrer des hamsters bios dans la minette. Plus sérieusement, les protections hygiéniques sont composées de nombreuses fibres naturelles et synthétiques, chargées d'absorber les flux menstruels. Ce savant mélange de coton, de viscose, de divers polymères et de poudre absorbante est blanchi par oxygénation.
Premier problème : cette opération est réalisée à l'aide d'azurants chimiques, et notamment de chlore. Or, il est bien connu qu'au contact de la viscose, le chlore forme de la dioxine, une substance très toxique. Et manque de bol : ce poison se trouve directement inséré dans les muqueuses des femmes, ce qui facilite grandement leur absorption par le corps tout entier.
Autre point noir : la poudre absorbante contiendrait un condensé d'amidon et d'autres cochonneries hautement nocif. Enfin, cerise sur le gâteau : le coton employé dans la fabrication des tampons est cultivé à grands renforts de pesticides.
Alors, quelles alternatives pour éviter de finir intoxiquée ? En réalité, il en existe plusieurs qui ont fait leurs preuves : la coupe menstruelle, les serviettes hygiéniques lavables, les tampons et les serviettes bio, les éponges menstruelles... Certaines femmes sont même adpetes du " free flow instinct " , une méthode surprenante qui consiste à arrêter de se protéger et à stopper le flux à l'aide de son périnée.
- Une femme utilise en moyenne 11 000 tampons dans sa vie. Ça vous en bouche un coin ?