(Estelle Lefébure - novembre 2011)
A propos d’Estelle Lefébure, ex-Estelle Hallyday, ex-Estelle-Arthur (l’équivalent, à la télé, du trou du cul du monde) et plus récemment ex-Estelle-Ramette, restaurateur new-yorkais (1)...
Un magazine féminin (Elle - octobre 2015) titre : « Mon âge, mes amours, mon équilibre : Estelle Lefébure nous raconte les secrets de sa joie de vivre ».
Et nous tous de nous empresser de répondre, d'une seule voix, en coeur, à propos de cette joie de vivre : « Les pensions que lui versent tous ses ex-maris ».
Ne sachant rien faire, n’ayant aucun talent, comme un fait exprès, Estelle Lefébure possède néanmoins un don, un seul ; un don précieux même si bien plus répandu qu'il n'y paraît : tomber amoureuse (on lui accordera ce crédit-là ; il s’agit bien d’amour !) entre deux pubs-télé, d’hommes hyper-solvables et seulement d’hommes hyper-solvables.
Car enfin, quand on y réfléchit un instant, Estelle Lefébure aurait très bien pu tomber amoureuse… disons… d’un chauffeur de taxi, par exemple ! au cours de ses nombreux déplacements dans la Capitale (merci de noter que personne n'a jamais rencontré Estelle Lefébure dans le métro ou le RER !) ; ou bien, amoureuse d’un chef de rayon du grand magasin "Le Bon Marché Rive gauche" au cours de ses après-midi shopping ! Amoureuse d’un chef bagagiste d’un Palace ou bien encore, d’un serveur d’un restaurant 4 étoiles...
Pourquoi pas après tout, tout et tout le reste ?!
Mais non, mille fois non… les fées se sont penchées sur son berceau très tôt et les feux de l’amour ont gâté Estelle ; ils ont comblé son cœur (pour un temps) et choyé son compte en banque (pour longtemps).
D'où l'admiration que lui vouent les magazines People et leurs lectrices ? Admiration et fascination pour le destin cette femme, très femme au demeurant ?
C'est fort probable.
1 – Pascal Ramette, propriétaire de plusieurs restaurants à New-York... celui-là, fallait le trouver ! New-York c’est grand !
Et puis, Pascal Ramette comme mari, Estelle a sans doute eu là comme un coup de fatigue car la restauration, même new-yorkaise, c’est quand même plus précaire comme activité !
Coup de fatigue donc ou bien : raréfaction des opportunités due à son âge ?
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Ici, dans cet extrait, difficile de ne pas sourire lorsque Estelle Lefébure nous fait la confidence suivante : “Il ne faut pas trop se projeter dans le futur " (elle voulait sans doute dire qu'il ne faut pas trop penser à l’avenir)
Mais alors, qu’est-ce que ce serait si elle y avait pensé et si elle y pensait encore aujourd'hui à cet avenir auquel il ne faut pas penser… quand on connaît ses choix en matière de placements… sur l’avenir justement !
Un enfant, un mariage ; un mariage, un enfant.
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Sacrée Estelle, va ! On a enfin percé, non pas tes secrets, mais un seul, unique secret, puisqu'il n'y en a pas d'autres ! Et qui plus est : secret de polichinelle d'une presse féminine à genoux devant ses annonceurs-payeurs ; une presse qui fait l'âne pour avoir de l'avoine avec ses lectrices et lecteurs qui ont fini... bourricots.