Peintures huile sur toile, à la limite de l’illustration…J’adore ! Si mes profs avaient commencé à m’instruire par la “World peinture”, je me serai peut-être plus accrochée à l’histoire de l’art ! On en prend plein les yeux tellement les couleurs sont acidulées, tout ça sans vulgarité, sans excès… Et je ne parle pas de la technique du tracé… Cela me rend nostalgique d’une période qui n’est pas la mienne et me donne envie de voyager, de voir ces gens qui ont le sourire aux lèvres, de goûter à ces fruits (sans pesticides ni OGM) qui n’existeront bientôt plus que dans notre imagination… Ho la la, on va pas commencer la semaine comme ça ! Positivons ! On va bien, tout va bene aussi…!
Jorge Gonzàlez Camarena, l’artiste de ce paradis perdu, est né dans dans la ville mexicaine de Guadalajara en 1908. Il a étudié à l’Académie des Beaux Arts de Carlos San et en 1925 a été choisi par le dr. Ati pour collaborer à d’innombrables œuvres dans des églises mexicaines et pour illustrer son livre “Las iglesias de México”.
De 1932 à 1933 il vécu à Huejotzingo, où le Directeur des Monuments Coloniaux, lui confie la reconstitution des fresques d’un couvent du XVI Siècle, ce qui lui donnera assurément sa vocation de “tagger”. Il a réalisé plusieurs peintures murales et créé aussi des sculptures monumentales dans diverses villes du Mexique. Ses peintures sont surtout représentatives de scènes traditionnelles au Mexique.