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Driven Saison 1 de K. Bromberg

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chroniqué par Amanda JajoratineAmanda Jajoratine

:star: Driven Saison 1 de K. Bromberg

DrivenBroché: 450 pages
Editeur : Hugo Roman
Date de sortie : 8 octobre 2015
Collection : New Romance
ISBN-10: 2755617551
ISBN-13: 978-2755617559
Prix Editeur : 17€
Disponible sur Liseuse : OUI

Son résumé :

Pour se protéger de déboires passés, Rylee Thomas est toujours dans le contrôle d’elle-même jusqu’au jour où elle rencontre le seul homme qui, justement, pourrait lui donner envie de lâcher prise… Colton Donavan, un boy superbe, arrogant et ténébreux, habitué à obtenir tout ce qu’il désire. Une histoire d’amour torride entre une femme qui cherche à se reconstruire et un pilote de course intrépide, constamment sur le fi l du rasoir, qui repousse toujours plus loin ses propres limites comme celles des autres.

Mon Avis :

J’ai a-do-ré ce livre !

Pour plusieurs raisons que je vais m’empresser de vous dévoiler. Je commencerai par une qui ne concerne par forcément le livre en lui même. Disons qu’avec Driven, je fais ma première chronique à Songe d’une nuit d’été et j’en suis enchantée, toute émoustillée et émue. C’est un très grand plaisir que je tenais à noter mais que j’écourterai cependant pour ne pas vous ennuyer.

Revenons plutôt à ce livre que je qualifierai de « mille feuilles ». Chez moi les comparatifs avec les pâtisseries sont le signe de d’une grande qualité romanesque. Disons qu’ici, on en reste pas à la romance de base, il y a une multitude de sentiments que j’ai ressenti. A chaque étage, il y a un nouveau goût mais tout aussi savoureux.

Colton Donavan est un frimeur, un bad boy, sexy, millionnaire, dieu du sexe… Rien de nouveau sous le soleil de la romance, vous me direz. D’autant que l’héroïne Rylee est une bombe qui s’ignore (oui ça arrive souvent en romance…) et qui n’a jamais eu qu’un seul partenaire. Brossé comme ça, mon résumé risque d’en faire fuir plus d’une. Restez . Vous auriez tort d’en rester là.

Certes ce roman emprunte les mêmes ressorts que beaucoup avant lui mais il va aussi beaucoup plus loin. Et c’est à ce moment là que j’ai succombé à cette touchante histoire
Un des très gros points forts du livre est de s’améliorer, de se métamorphoser au fur et à mesure des pages et de briser les stéréotypes dans lesquels il s’était lui même placé jusqu’à atteindre une fin génialissime.

Au début, la présentation m’a laissé de marbre. Je ne reprendrai pas mon portrait de Colton. Quant à Rylee, malgré des secrets (convenus) qui l’empêche de se lancer dans un relation on a quelque chose qui a des airs de déjà vus. D’ailleurs le style ne m’a pas tout de suite transporté. J’ai même trouvé certaines tournures malheureuses :
« Des filles qui jettent leur bonnet par-dessus les moulins, totalement libres, et qui vivent leur vie sans regrets, en flirtant avec des inconnus au hasard…. »
Est-ce une traduction québécoise car là je dois dire que je ne l’avais jamais entendu ou peut-être chez mon arrière grand-mère….Heureusement la suite rattrape tout ça.

Il s’agit du premier livre de cette auteure qui appartient à cette vague qui s’est fait connaître en dehors des sentiers balisés de l’édition avant d’être « reconnue » . Je pense que c’est peut-être une des raisons de certaines maladresses dans l’entrée du récit. Mis à part ce petit bémol, l’auteure trouve un rythme très vite qui m’a vraiment scotchée. Certes un début convenu, des personnages qui le sont tout autant et puis à un moment, le récit trouve sa singularité. Colton et Rylee prennent littéralement vie. La romance n’est plus désincarnée. On sent littéralement sous nos doigts leur alchimie. A partir de là, le récit s’accélère de façon très juste, l’écriture devient addictive et on est … happé dans le tourbillon de leur sentiment.

C’est fort, d’autant que ce sont des écorchés tous les deux. Surtout Colton qui devient plus complexe au fur et à mesure du récit que ce qu’il montre au départ. Je l’ai trouvé assez horripilant au début dans sa posture de « Je sais qu’aucune femme ne peut me résister… ». Et puis à travers les yeux de Rylee, on tombe amoureuse de lui et même si on ne comprend pas sa superficialité, on l’accepte. Derrière ça, il cache une violence et une colère dont on ignore l’origine. Le premier tome ne nous révèle pas ses secrets mais on les suppose terribles. Il abrite quelque chose en lui qui le détruit et qui détruit tout ce qui l’approche.

J’ai adoré cette violence dans le récit qui produit un personnage qui génère chez le lecteur un sentiment d’empathie mais aussi de colère, d’injustice. Il y a peu d’espoir de Happy End pour ce couple attachant. D’ailleurs le livre se finit sur une fin en forme de chute, cliffhanger TOTALEMENT frustrante. Le tome 2 suit de près. OUF … mais on referme le livre après avoir passé le grand huit des émotions.

Driven est un livre, un mille feuilles de sensations que vous dévorerez de plus en vite. La faim vient en mangeant. A déguster d’urgence.Oups…Je voulais dire à lire d’urgence !

Excellent

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Chroniqué par Amanda JajoratineAmanda Jajoratine

:star: Driven Saison 1 de K. Bromberg

DrivenBroché: 450 pages
Editeur : Hugo Roman
Date de sortie : 8 octobre 2015
Collection : New Romance
ISBN-10: 2755617551
ISBN-13: 978-2755617559
Prix Editeur : 17€
Disponible sur Liseuse : OUI

Son résumé :

Pour se protéger de déboires passés, Rylee Thomas est toujours dans le contrôle d’elle-même jusqu’au jour où elle rencontre le seul homme qui, justement, pourrait lui donner envie de lâcher prise… Colton Donavan, un boy superbe, arrogant et ténébreux, habitué à obtenir tout ce qu’il désire. Une histoire d’amour torride entre une femme qui cherche à se reconstruire et un pilote de course intrépide, constamment sur le fi l du rasoir, qui repousse toujours plus loin ses propres limites comme celles des autres.

Mon Avis :

J’ai a-do-ré ce livre !

Pour plusieurs raisons que je vais m’empresser de vous dévoiler. Je commencerai par une qui ne concerne par forcément le livre en lui même. Disons qu’avec Driven, je fais ma première chronique à Songe d’une nuit d’été et j’en suis enchantée, toute émoustillée et émue. C’est un très grand plaisir que je tenais à noter mais que j’écourterai cependant pour ne pas vous ennuyer.

Revenons plutôt à ce livre que je qualifierai de « mille feuilles ». Chez moi les comparatifs avec les pâtisseries sont le signe de d’une grande qualité romanesque. Disons qu’ici, on en reste pas à la romance de base, il y a une multitude de sentiments que j’ai ressenti. A chaque étage, il y a un nouveau goût mais tout aussi savoureux.

Colton Donavan est un frimeur, un bad boy, sexy, millionnaire, dieu du sexe… Rien de nouveau sous le soleil de la romance, vous me direz. D’autant que l’héroïne Rylee est une bombe qui s’ignore (oui ça arrive souvent en romance…) et qui n’a jamais eu qu’un seul partenaire. Brossé comme ça, mon résumé risque d’en faire fuir plus d’une. Restez . Vous auriez tort d’en rester là.

Certes ce roman emprunte les mêmes ressorts que beaucoup avant lui mais il va aussi beaucoup plus loin. Et c’est à ce moment là que j’ai succombé à cette touchante histoire
Un des très gros points forts du livre est de s’améliorer, de se métamorphoser au fur et à mesure des pages et de briser les stéréotypes dans lesquels il s’était lui même placé jusqu’à atteindre une fin génialissime.

Au début, la présentation m’a laissé de marbre. Je ne reprendrai pas mon portrait de Colton. Quant à Rylee, malgré des secrets (convenus) qui l’empêche de se lancer dans un relation on a quelque chose qui a des airs de déjà vus. D’ailleurs le style ne m’a pas tout de suite transporté. J’ai même trouvé certaines tournures malheureuses :
« Des filles qui jettent leur bonnet par-dessus les moulins, totalement libres, et qui vivent leur vie sans regrets, en flirtant avec des inconnus au hasard…. »
Est-ce une traduction québécoise car là je dois dire que je ne l’avais jamais entendu ou peut-être chez mon arrière grand-mère….Heureusement la suite rattrape tout ça.

Il s’agit du premier livre de cette auteure qui appartient à cette vague qui s’est fait connaître en dehors des sentiers balisés de l’édition avant d’être « reconnue » . Je pense que c’est peut-être une des raisons de certaines maladresses dans l’entrée du récit. Mis à part ce petit bémol, l’auteure trouve un rythme très vite qui m’a vraiment scotchée. Certes un début convenu, des personnages qui le sont tout autant et puis à un moment, le récit trouve sa singularité. Colton et Rylee prennent littéralement vie. La romance n’est plus désincarnée. On sent littéralement sous nos doigts leur alchimie. A partir de là, le récit s’accélère de façon très juste, l’écriture devient addictive et on est … happé dans le tourbillon de leur sentiment.

C’est fort, d’autant que ce sont des écorchés tous les deux. Surtout Colton qui devient plus complexe au fur et à mesure du récit que ce qu’il montre au départ. Je l’ai trouvé assez horripilant au début dans sa posture de « Je sais qu’aucune femme ne peut me résister… ». Et puis à travers les yeux de Rylee, on tombe amoureuse de lui et même si on ne comprend pas sa superficialité, on l’accepte. Derrière ça, il cache une violence et une colère dont on ignore l’origine. Le premier tome ne nous révèle pas ses secrets mais on les suppose terribles. Il abrite quelque chose en lui qui le détruit et qui détruit tout ce qui l’approche.

J’ai adoré cette violence dans le récit qui produit un personnage qui génère chez le lecteur un sentiment d’empathie mais aussi de colère, d’injustice. Il y a peu d’espoir de Happy End pour ce couple attachant. D’ailleurs le livre se finit sur une fin en forme de chute, cliffhanger TOTALEMENT frustrante. Le tome 2 suit de près. OUF … mais on referme le livre après avoir passé le grand huit des émotions.

Driven est un livre, un mille feuilles de sensations que vous dévorerez de plus en vite. La faim vient en mangeant. A déguster d’urgence.Oups…Je voulais dire à lire d’urgence !


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