Qu’est-ce qui fait partager des contenus storytelling ? (2/2)

Après avoir exploré pourquoi nous partageons des contenus dans un premier article, voici la suite : quels sont donc les contenus storytelling (et marketing en général) qui ont le plus de potentiel de partage ?

En d’autres mots : qu’est-ce qui rend un contenu storytelling viral ?

1. Du positif contre les ambiances négatives

Les histoires positives ont bien plus de chances d’être partagées que les contenus négatifs. Et pourtant, il y a en nous un biais psychologique qui fait que nous accordons plus d’importance aux mauvaises nouvelles qu’aux bonnes. C’est aussi pour cela que l’on se souvient bien plus d’une insulte que d’un compliment.

Et c’est justement cette action contre-intuitive qui est puissante quand il s’agit d’être viral.

2. Les contenus qui montent en température

C’est à dire les histoires à émotions fortes : celles qui expriment de la peur, la colère, le rire, la surprise à un niveau élevé… Ce sont là des ingrédients basiques d’une bonne histoire, mais encore faut-il les avoir. Et gérer le point 1, sur le positivisme vs. le négativisme : une histoire d’équilibre. En tout cas, quand nous sommes émus, nous partageons (précision : l’émotion ne naît pas de l’information). Une émotion à soigner dès le titre du contenu que l’on veut voir partagé.

3. De l’information pratique et utile

L’émotion ne suffit pas, à part pour partager une vidéo rigolote avec ses amis. Ici, l’objectif est professionnel, marketing, commercial. Des solutions à des problèmes (déjà du storytelling en soi), des tactiques qui répondent à un enjeu réel de l’auditoire sont très partageables. Tout cela, en impliquant son auditoire (au minimum en requérant leurs commentaires), en annonçant la couleur dès le début (laisser planer le mystère sur ce qui attend le lecteur est le meilleur moyen de le faire fuir), en ne restant pas au niveau du technico-technique…

Pour terminer : une vidéo sur l’histoire (longue) du marketing de contenus :