La notion d'éternel retour nietzschéen trouve, avec Rafael Nadal, une troublante remise à jour. Voici donc ce que j'écrivais il y a tout juste un an, et force est de constater que ça reste cruellement d'actualité.
A ce moment-là des choses, je crains malheureusement que la même scène se répète encore l'année prochaine, à moins qu'entre temps notre champion espagnol meure dans un accident d'avion (ce que je ne lui souhaite évidemment pas...).