L’orthographe du mot ekiden avec
un K, permet de voir qu’il ne s’agit pas d’équitation et que le mot est
d’origine japonaise (voir sur ce lien).
Ainsi, ce dimanche, avait lieu à
Fayence la cinquième édition de ce marathon en relais, à laquelle Courir à
Peillon présentait une équipe pour la deuxième année consécutive.
Je prenais le premier départ pour
une boucle de cinq kilomètres mais je me fais surprendre par le faux plat
montant du premier kilomètre qui me donne l’étrange sensation de ne pas être à
mon rythme. Fort heureusement, je suis rassuré dès le deuxième kilomètre en
prenant mon allure de croisière. Les 5 kilomètres en 21’10’’.
Hubert s’élançait ensuite pour
dix kilomètres (deux boucles de cinq), mais n’a pas encore son niveau de forme
optimale, ce n’est que le début de la saison ! Bon camarade, il fera
ensuite le dernier kilomètre de presque tous ses équipiers. Les 10 kilomètres
en 46’30’’.
Chantal, couvrira la distance
suivante (cinq kilomètres) dans un honorable chrono de 24’20’’ avant d’aller
défendre notre cause auprès des organisateurs suite à une erreur de
numérotation des dossards dans notre équipe.
Franck, l’homme fort du groupe,
lui aussi en début de saison, nous fait gagner quelques places dans le
classement pendant ses dix kilomètres de course en 37’55’’. Avec les cinq
premiers kilomètres en 18’50’’, la régularité de son relais est exemplaire.
Puis viennent les amoureux de la
bande, Séverine pour cinq kilomètres qu’elle couvre en 23’35’’ et enfin Thierry
qui ferme le bal pour sept kilomètres cent quatre-vingt-quinze mètres, soit la
boucle de cinq en 22’40’’ suivi d’un parcours additionnel pour que la distance
soit conforme et homologuée. Les 7,195 kilomètres en 33’08’’.
Thierry passe donc la ligne
d’arrivée 3 heures 6’38’’ après mon départ, signant ainsi le record du club.
La tradition conviviale de Courir
à Peillon nous conduisit ensuite dans le restaurant le plus proche !