Groupe anglais peu connu, Gengahr n’attire pas les foules par son nom un peu rebutant aux consonances germaniques. C’est d’ailleurs ce qui nous a fait passer à côté pendant quelques mois. Et dès la première écoute, on comprend que c’était une grossière erreur. Explications.
Chose rare en 2015, Gengahr semble avoir un son bien à lui. Pas de revival shoegaze, new wave ou autre britpop, même si on ressent plusieurs influences, qu’elles soient du côté de Avi Buffalo ou des Flaming Lips.
Gengahr, c’est à la fois ce son dansant pourtant très rock (« Heroine« ) mêlé à une certaine grandiloquence qui côtoie sagement un raffinement évident. Les guitares sont tantôt cristallines (Where I Lie dont l’intro rappelle un vieux riff de Jeff Buckley), tantôt survoltées (Embers). Mais Gengahr séduit par la variété de son répertoire. Si Lonely As A Shark peut évoquer les Manic Street Preachers, notamment sur les riffs de guitare, les guitares criantes sont elles aussi de la partie sur un final déluré.
Gengahr sait aussi se montrer plus doux, à l’instar de Trampoline qui clôt l’album ou d’un Dark Star et son côté presque hip hop.Un groupe coup de coeur à suivre en 2015.
Trois concerts sont prévus en France prochainement, notamment Paris (23/10 au Point Ephémère) et Lille (11/11 à La Péniche)
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Groupe anglais peu connu, Gengahr n’attire pas les foules par son nom un peu rebutant aux consonances germaniques. C’est d’ailleurs ce qui nous a fait passer à côté pendant quelques mois. Et dès la première écoute, on comprend que c’était une grossière erreur. Explications.
Chose rare en 2015, Gengahr semble avoir un son bien à lui. Pas de revival shoegaze, new wave ou autre britpop, même si on ressent plusieurs influences, qu’elles soient du côté de Avi Buffalo ou des Flaming Lips.
Gengahr, c’est à la fois ce son dansant pourtant très rock (« Heroine« ) mêlé à une certaine grandiloquence qui côtoie sagement un raffinement évident. Les guitares sont tantôt cristallines (Where I Lie dont l’intro rappelle un vieux riff de Jeff Buckley), tantôt survoltées (Embers). Mais Gengahr séduit par la variété de son répertoire. Si Lonely As A Shark peut évoquer les Manic Street Preachers, notamment sur les riffs de guitare, les guitares criantes sont elles aussi de la partie sur un final déluré.
Gengahr sait aussi se montrer plus doux, à l’instar de Trampoline qui clôt l’album ou d’un Dark Star et son côté presque hip hop.Un groupe coup de coeur à suivre en 2015.
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