En 2011, il s’en était pris à une pétition de l’IPJ, dans laquelle l’organisation – bien à droite – demandait notamment « l’impunité zéro pour les atteintes aux personnes et aux biens » et une « fermeté de précaution vis-à-vis des criminels dangereux ».
Eolas avait qualifié l’initiative d’« étron » et de « bouse ». Avant d’ajouter qu’il se « torcherait bien avec l’IPJ s’[il] n’avait pas peur de salir [son] caca ».
Aussitôt le jugement rendu, Maitre Eolas a donc choisi de fermer son compte twitter, à sa seule initiative. Elle l’honore, et le protégera peut-être à l’avenir de ce genre de péripéties qui nous guettent tous au détour d’un tweet un peu trop impulsif ou d’un billet bien senti, face à quelqun qui se sent morveux…. Mais je tiens à prendre le relais de ce bâton merdeux qu’il a porté un moment. Car enfin, malgré le jugement rendu, cela ne change rien : l’IPJ est bien un repaire de vieux réacs, un peu trop proches de l’extrême droite, comme j’ai encore eu l’occasion de le démontrer il n’y a pas si longtemps, lui qui se flatte de soutenir l’exploitation de l’homme par l’homme… Et face au camp progressiste, ils ont peut-être gagné une bataille (et encore, relativisons…) mais pas la guerre. Sus aux fachos ! Qu’ils comptent sur moi pour les suivre de (très) près…