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background: transparent;">Les 420 martyrs kabyles de 1963-1965, morts pour la démocratie suite à l’appel du FFS sous l’égide de Hocine Ait Ahmed, ne seront jamais reconnus par le régime d’Alger. Les responsables du FFS ont reçu un niet catégorique quant à leur demande de reconnaitre ces valeureux martyrs.
Les autorités ont refusé même d’aborder ce sujet, une manière de faire comprendre au FFS et aux familles de victimes qu’il n’existe aucune chance de voir les martyrs du FFS reconnu un jour par le pouvoir raciste d’Alger.
Ce dernier a pourtant amnistié les terroristes islamistes et les fait bénéficier même d’importantes largesses et intérêts sur le plan social. Decidemment, les victimes de l’heroique soulèvement de la Kabylie contre la dictature du tristement celebre le clan d’Oujda, usurpateur de pouvoir en 1963, ne seront reconnues à leur juste valeur que par les leurs. En d’autres termes par le future Etat kabyle.
« On ne peut pas attendre de ce pouvoir la reconnaissance des victimes du FFS alors que ces victime ont été tués par ce même régime.
Les 420 victimes du soulèvement de la Kabylie de 1963 ne seront reconnues que par un Etat kabyle indépendant et souverain », a laissé entendre un ancien militant du FFS qui caresse l’espoir de voir un Etat kabyle édifié. « C’est à nous d’arracher notre indépendance », retranche notre interlocuteur. Une phrase lourde de sens qui résume à elle seule la déception du Peuple kabyle est sa volonté de se séparer définitivement du régime d’Alger.