Résumé :
Kûsla doit vérifier si une bande de bergers ne cache rien, il amène avec lui Fenesis. Le passé de la jeune femme semble la rattraper et cela force l’alchimiste à agir en conséquence. Pourtant, Kûsla ne souhaite pas compromettre sa propre personnalité… Puis lui, Fenesis et Irène et Weyland voient leur sort remis en question quand la paix est déclarée… Malgré tout, certains détails tendent à démontrer que le conflit perdure, et c’est en cherchant une arme cachée en ville que les quatre amis découvrent la véritable histoire de l’ancienne tribu de Fenesis. Alors que sa considération pour la jeune femme grandit, Magdala est-il à porté de main ?
Avis par Jake :
Et voilà, Magdala, c’est fini après seulement 4 volumes. Il semblerait que ce seinen au rythme plutôt lent mais aux personnages assez attachants n’ait pas su trouver son public en temps et en heures. On sent d’ailleurs que ce dernier tome est un peu brusqué : si la première partie clôt la trame qui s’était entamée précédemment, la nouvelle histoire qui nous entraînait (enfin !) sur le passé de Fenesis se termine trop tôt ! C’est d’autant plus énervant que cette partie là était vraiment captivante ! Lorsque nos héros trouvent la plaque avec le dessin des membres de la tribu de Fenesis et des dragons, tellement de possibilités dans le genre fantastique auraient pu voir le jour ! Quoi qu’il en soit, cette conclusion voit également se retrouver nos quatre amis, et cela faisait un moment que nous n’avions pas eu cette sensation (Irène et Weyland avaient pour ainsi dire disparu de la circulation !). Comme beaucoup, je n’aurais pas véritablement accroché avec le rythme lent de la trame, mais ça fait toujours bizarre de voir une œuvre se terminer… Bon point pour la couverture qui est simplement une merveille !