Souffrance animale rendue sera une dette pour son auteur,
L’objet de plus en ses éternels regrets,
Qu’il le sache,qu’il ne parjure plus l’oeuvre de l’existence,
Qu’il n’oublie l’origine divine de sa conscience,
Qu’il entende l’appel de l’espérance,
Qu’il ne rende plus la souffrance,
Que son ignorance rencontre enfin la plus éminente connaissance,
Résumée en son coeur,qu’il y retrouve son premier bonheur,
L’originel de son pouvoir d’aimer,
Sera-t-il de nouveau en toute compassion,en tout pardon,
En tous sentiments vertueux,humbles et sincères,
Aimera-t-il ses semblables comme ses compagnons du monde animal.