Depuis plusieurs jours je subissais le harcèlement d’une jeune femme, jeune et jolie – comme il se doit ou presque – et, par suite, manipulatrice et déterminée (quoi c’est un cliché ?), pour que je rende son titre à mon blog. J’ai d’abord tenu bon, mais je me demande bien qui, à ma place, aurait pu résister à ses méthodes, raffinées autant que sournoises, dont je ne peux (ma pudeur) rien dire. Je lui rends donc son nom, et son sourire reconnaissant, pour ne pas dire sa satisfaction d’abruti béat, me fait prendre conscience de ma cruauté, de la souffrance qu’il a éprouvée pendant ces quelques semaines sans titre, comme nu au milieu de la foule de ses semblables armés d’images, de son et autres accoutrements de cette sorte. Peut-être que cette petite bande de mots le réchauffera, car, paraît-il, il s’est un peu refroidi (j’ai saisi le message, J.). (j'avais pensé l'appeler Coups dans l'eau, mais Elle n'a pas accepté et j'ai dû (c'est ce qu'elle disait) être puni.) C’est tout A+