Heureux,mais à nous la volonté de l’être,
A nous le désir de vivre,
A nous la capacité d’aimer,
Ainsi de pardonner,de compatir,
D’aider ou d’offrir un sourire,
Heureux celui qui ne blesse,qui n’a le souci d’amasser la richesse,
Sait-il ce temps compté voué à son coeur,
A-t-il la mémoire d’un originel bonheur,
Lui l’être d’amour qui ne connaissait nul doute,nul regret,
Mais lui fallait-il la connaissance en conscience,
Lui fallait-il vivre ces jours,
S’éveille en lui une incroyable confiance toute guidée par l’espérance,
Est-il heureux cet être.