Crise des migrants : L'espace Schengen mis à mal

Publié le 15 septembre 2015 par Raymond_matabosch

Après la Hongrie, c'est l'Allemagne qui, bien que la chancelière Angéla Merkel s'est faite le chantre de l'accueil des migrants contre l'avis de la population allemande s'y opposant, reconnait « Nous avons perdu tout contrôle. L’accueil des immigrants est une énorme faute politique »

et tout comme en Hongrie, la police allemande a commencé à se déployer, depuis le dimanche 13 Septembre au soir, à la frontière avec l'Autriche afin de stopper les réfugiés syriens tentant d'entrer au point de passage de Freilassing.

Tant même plus, Hans-Peter Friedrich, Ministre de l’Intérieur de 2011 à 2013, met en garde contre l’arrivée incontrôlée, dans l’Union Européenne, de masses « d’immigrants dont on ne sait absolument rien... C’est une énorme faute politique qui peut avoir des conséquences dramatiques. Nous risquons de payer très cher le fait de ne pas enregistrer ces gens, de ne pas contrôler leur identité... » Et certains hauts responsables des Services de renseignements allemands reconnaissent « ...avoir perdu tout contrôle dès le début de la crise des migrants. Nous sommes envahis de djihadistes et nous risquons des attentats à tout moment. Il vaudrait mieux que le gouvernement de Berlin s’y prépare dès maintenant... Nous devons fermer nos frontières... »

Selon des informations répercutées par le "Spiegel", « ...tous les policiers fédéraux ont été placés en état d'alerte et tous les policiers disponibles vont être envoyés en Bavière pour fermer les frontières... » Et parallèlement, les chemins de fer allemands, "Deutsche Bahn", ont suspendu « ...la circulation ferroviaire entre l'Autriche et l'Allemagne... »

Nul doute que l'Allemagne est en état de siège... tout comme l'est, de même, la République tchèque qui a renforcé « ...les mesures à sa frontière avec l'Autriche... » et qui envoie aussi son armée et sa police à la frontière avec l'Autriche

Et en France, dont par les Services de renseignement tant civil que militaire le Président de la République François Hollande n'en peut rien ignorer, que fait-on ?

En toute inconséquence et en toute turpitude, "on" fait de l'enfumage, "on" fait pleurer les citoyens dans les chaumières, "on" les culpabilise et "on" manipule l'opinion... avec des sondages frelatés et captieux pour contraindre les français à accueillir les pseudos-migrants, majoritairement djihadistes, sur le sol national et ainsi leur permettre de l'envahir sans aucune contrainte militaire...

Pendant ce temps là, François Hollande, son discours officiel étant servi à foison par ses perroquets médiatiques, en toute oligarchie dictatoriale, a engagé la France, sans avis du peuple français ni de ses représentants à l'Assemblée Nationale et au Sénat, aux côtés des djihadistes du Front Al-Nosra et de l'Etat islamique, en les finançant et en les armant sur le dos des contribuables français, en envoyant des experts militaires sur le terrain syrien et irakien pour les soutenir dans leur combat contre Bachar Al-Assad dont il souhaite, l'aveuglant, l'élimination physique...

Le chaos est à brève échéance en France...