À nouveau Obama nous met le couteau sous la gorge, en nous impliquant dans une guerre avec la Syrie qu’il ne veut pas mener directement, il n’est pas seulement le traitre à l’humanité qui a financé ISIS, DAESH, AL NOSRA, mais n’ayons pas peur de le dire, c’est un lâche, et le gouvernement de Monsieur Hollande, est l’esclave soumis à toutes ses décisions.
A-t-il promis une part des ressources énergétiques de la Syrie à la France, si celle-ci le débarrassait de Bachar el-Assad ?
Notre gouvernement Français a aidé ces groupes islamistes avec les pays du Golf, les États-Unis et les Britanniques pour renverser, d’après un agenda organisé de longue date, Bachar el-Assad, en fournissant des armes à des groupes islamistes « modérés », prétendument résistants au régime syrien, d’après notre ministère des affaires étrangères, groupes qui ont commis des atrocités contre les populations civiles Syriennes musulmanes, chrétiennes et kurdes, sans distinction...
Actuellement, il y aurait 20 000 mercenaires qui viennent de toute la péninsule arabique, de France et d’ailleurs, pour détruire le tissu politique, économique, social, archéologique et touristique de la Syrie.
À l’heure de la rédaction de cette note, il n’y a aucun groupe islamique modéré en Syrie comme le prétend effrontément Laurent Fabius, chacun de ces groupes commet des actes de barbarie au nom de l’islam, alors que DAESH les diffuse sur YouTube, Al NOSRA s’abstient, et malgré cette légère différence de communication, ces deux groupes islamistes mènent le même combat contre le peuple Syriens et contre les mécréants du monde.
Laurent Fabius s’est livré avec une inconséquence crasse à des déclarations scandaleuses en défendant Al NOSRA comme étant un groupe islamiste modéré, en ajoutant que ces islamistes faisaient « du bon boulot en Syrie », puis en affirmant que Bachar el-Assad ne devrait plus exister. Ne serait-ce pas un aveu de complicité de crime contre l’humanité ? Tout comme il aurait très bien pu dire :
- « Hitler a fait du bon boulot en Allemagne - et dans le reste de l’Europe - en la débarrassant des juifs, des communistes, des handicapés, des intellectuels, des… »
Cet homme qui juge et accuse la Hongrie, ce pays qui a toujours refusé la moindre implication dans les guerres du Moyen-Orient, et qui tente avec courage de contrôler ce flux migratoire imposé par les mêmes qui veulent la destruction de l’Europe, de sa culture et de son peuple ; Fabius est aujourd’hui, non seulement sous le coup d’une plainte pour ses déclarations, mais il est désormais considéré comme un homme de peu de foi, de peu de valeur et un complice des criminels islamistes qui ont exterminés et violés dans les conditions les plus atroces, des femmes, des enfants, endeuillées des familles entières.
Même s’il insiste encore pour bombarder la Syrie, nous sommes en droit de nous interroger, quelle cibles exactement souhaiterait-il atteindre puisque « les frappes de la coalition ne sont que cosmétiques[1] » sur les cibles terroristes, déclare le président Syrien.
En répondant aux questions de Paris-Match sur la création de l’État Islamique, Bachar el-Assad déclare :
- « D’abord en Syrie, nous avons un État, pas un régime. Soyons clairs sur la terminologie. Si nous supposons que cela est vrai, et donc que nous avons soutenu l’Etat Islamique, cela revient à dire que nous leur avons demandé de nous attaquer, d’attaquer nos aéroports militaires, de tuer des centaines de nos militaires, d’occuper nos villes et nos villages. Où est la logique là-dedans ? Qu’avions-nous à gagner dans tout cela ? Diviser et affaiblir l’opposition, comme vous le dites ? Nous n’avions pas besoin de le faire. L’Occident lui-même reconnaît que cette opposition était fantoche. C’est ce qu’Obama lui-même a dit. L’hypothèse est donc fausse. Mais alors, où est la vérité ? En réalité, l’État Islamique a été créé en Irak en 2006. Ce sont bien les États Unis et non la Syrie qui occupait l’Irak. Abou Baker al Baghdadi était dans les geôles américaines et non dans les prisons syriennes. Qui a donc créé l’État Islamique ? La Syrie ou les États-Unis[2] ? »
Il indique également que le terrorisme vécu par les Syriens et principalement d’origine française :
« - Le terrorisme est une idéologie et non des organisations ou des structures. Or, l’idéologie ne connaît pas de frontières. Il y a vingt ans, le terrorisme s’exportait depuis notre région, en particulier depuis les pays du Golfe comme l’Arabie Saoudite. À présent, il nous vient d’Europe, et notamment de France. Le plus gros contingent de terroristes occidentaux venus en Syrie est français. Ils commettent des attentats en France. En Belgique, ils ont attaqué le musée juif. Le terrorisme en Europe n’est plus dormant, il s’est réveillé ».
Notre gouvernement nous a menti, il nous ment sur la réalité syrienne, et s’il nous ment sur la Syrie, on peut imaginer combien il nous ment sur d’autres sujets tous aussi graves qui ont menés à la décision de nos implications dans ces conflits fabriqués.
Paradoxalement, une voix se détache de la haine ambiante, le ministre autrichien des Affaires étrangères a déclaré que la coalition devait s’unir à Bachar el-Assad pour bombarder les bases d’Isis et d’Al Nosra, bien entendu avec les déclarations à l’emporte-pièce de M. Fabius, il est difficile, après avoir clairement déclaré voir mort Assad, de s’allier à lui.
Comment un diplomate français peut-il faire une telle déclaration, son désir de voir mort un président étranger qui ne lui a rien fait ?
Et personne n’exige sa démission pour ces paroles poussant au crime ?
Et on condamne des Français pour apologie du terrorisme et pas un ministre pour apologie de meurtre ?
Dans quelle indignité est tombée notre pays ?
Il n’y a pourtant aucune relation entre le président Hollande et le président syrien qui a conscience que les enjeux dépassent le cadre de la simple relation de bon voisinage entre présidents.
- Ce n’est pas une question de relations personnelles. D’ailleurs je ne le connais même pas. Il s’agit de relations entre États et institutions, et dans l’intérêt des deux peuples. Nous traiterons avec tout responsable ou gouvernement français dans l’intérêt commun. Mais l’administration actuelle œuvre à l’encontre des intérêts de notre peuple et de ceux du peuple français. Je ne suis ni l’ennemi personnel ni le rival de Hollande. Je pense que c’est plutôt DAECH qui est son rival, puisque leurs cotes de popularité sont très proches.
Aujourd’hui, le président Hollande y va de sa petite phrase, « il faut que Bachar parte », n’y aurait-il que cela de petit chez cet homme, comme sa politique et son gouvernement ?
Et pourtant, nous, en tant que citoyens, sommes certains d’avoir demandé à ce président Hollande qu’il parte, l’a-t-il fait, a-t-il écouté, entendu son peuple ?
« À l’inverse de la fiction monarchique où le peuple prêtait serment à l’homme investi de la puissance, c’était l’homme investi de la puissance qui prêtait serment au peuple.
Le président, fonctionnaire et serviteur, jurait fidélité au peuple souverain[3]. »
Où est le serment du président Hollande à son peuple, à son devoir, celui qui perpétue la catastrophe économique dans laquelle le précédent l’avait plongé ?
Trahison de serment au profit de son ennemie déclarée, la Finance qu’il sert comme « Lassie chien fidèle », mais traitre humain à ses propres engagements moraux face au peuple de France qui lui a donné accès aux marches du palais. Le peuple doit-il toujours être trompé de sa puissance souveraine ?
Voici les mots d’un président qui n’était pas lui, mais qui promit à son peuple ravi d’avoir échappé à l’autre petit :
« Je veux, comme vous, citoyens représentants, rasseoir la société sur ses bases, raffermir les institutions démocratiques, et rechercher tous les moyens propres à soulager les maux de ce peuple généreux et intelligent qui vient me donner un témoignage si éclatant de sa confiance… Le suffrage de la nation et le serment que je viens de prêter commandent ma conduite future, mon devoir est tracé. Je le remplirai en homme d’honneur. Je verrais des ennemis de la patrie dans tous ceux qui tenteraient de changer, par des voies illégales, ce que la France entière a établi[4]. » (paroles bafouées plus tard par Louis Napoléon Bonaparte qui instaurera le Second Empire en rejetant tous ses serments)
Nul doute que ces belles paroles du président élu Louis Napoléon Bonaparte, le 20 décembre 1848, résonnent encore à nos oreilles de démocrates 167 ans plus tard, comme le : « lorsque je serais président… » prononcé avec un accent si profond de loyauté par François Hollande pour motiver les Français à voter pour lui et en faire, contre toute attente, le plus mauvais président de la 5e république.
Nous, citoyens de ce pays, sommes affamés de ces libertés assénées à grand renfort de promesses et nous sommes assommés de mensonges et de fourberies par un gouvernement socialiste qui a trahi la pensée même de Jaurès.
En tant que Français, je déclare solennellement me désolidariser des actions criminelles de mon gouvernement en Syrie, contre le peuple syrien, menées avec un cynisme odieux, je juge en tant que citoyen, ces actions indignes et inhumaines envers un peuple et son gouvernement que nous attaquons sans la moindre raison valable.
La Syrie nous a-t-elle jamais menacés ? Chacun connaît la réponse à cette question.
Je n’ai pas voté pour un président qui prépare la troisième guerre mondiale avec des Américains qui ne pensent qu’en terme d’escroqueries, de pillage, de destruction et de massacres humains :
- « les crimes, la trahison dans la conception, le parjure dans l’exécution, le meurtre et l’assassinat dans la lutte, la spoliation, l’escroquerie et le vol dans le triomphe ; ce crime traine après lui, comme partie intégrante de lui-même, la suppression des lois, la violation des inviolabilités constitutionnelles, la séquestration arbitraire, la confiscation des biens, les massacres nocturnes, les fusillades secrètes, les commissions remplaçant les tribunaux, dix mille citoyens déportés, quarante mille citoyens proscrits, soixante mille familles ruinées et désespérées ; ces choses sont patentes. Eh bien ! Ceci est poignant à dire, le silence se fait sur ce crime ; il est là, on le touche, on le voit, on passe outre et l’on va à ses affaires ; la boutique ouvre, la Bourse agiote, le commerce, assis sur son ballot, se frotte les mains, et nous touchons presque au moment où l’on va trouver cela tout simple… »
Victor Hugo, Napoléon le petit
Ce gouvernement français est le plus fourbe et le moins courageux que nous ayons eu jusqu’à présent, il a bafoué toutes les règles fondamentales du socialisme dont il se prévaut, il est indigne d’agir au nom des Français qui sont contre cette guerre qui aura des conséquences dramatiques pour les peuples d’Europe et que nous ne mesurons pas encore avec ce flux migratoire qui dissimule un autre agenda plus sordide encore.
Il n’est plus temps de décrocher des drapeaux, il est temps de prendre son destin en main et en tant que pacifiste, dénoncer ces actions belliqueuses qui plongeront le peuple français à sa perte et ce n’est ici pas du nationalisme aveugle, que l’on ne se méprenne pas, c’est le sentiment national que nos dirigeants ont dévoyé pour le laisser à l’extrême droite, le patriotisme n’est pas l’apanage de la Droite mais celui de tous les Français, toutes origines confondues.
L’afflux de migrants actuel fait partie de ce plan, car ceux-là déstabiliseront la France de l’intérieur en semant le chaos. Ils sont à majorité seuls, des hommes jeunes, forts, athlétiques, entrainés, qui refusent de défendre leur pays contre l’envahisseur et qui préfèrent faire la guerre du djihad en Europe, et que rien n’arrêtera, ce sont des soldats du chaos, entrainés à la guérilla urbaine, ils se sont glissés parmi quelques familles pour se faire passer pour des martyrs alors qu’ils feront des Français des martyrs avec la complicité de nos élites, c’est pourquoi celles-ci déploient la justice contre tous ceux qui tenteront de protéger notre pays de leurs mauvaises intentions.
Je ne puis me défaire de cette déclaration du prêtre irakien, Père Al-Bazi, concernant les islamistes :
« Le cancer est à vos portes. Ils vont vous détruire… les musulmans radicaux de l’EI font ce que faisait Mahomet il y 1 400 ans, et les générations à venir seront encore pire… »
Les 200 mosquées qu’offrent les Saoudiens à l’Allemagne sont autant d’écoles coraniques dans lesquelles ils apprennent aux enfants à découper des membres, à égorger, à appliquer la charia. Une fois adulte, égorger un mécréant sera aussi naturel que d’aller acheter son pain, ce sont les guerriers d’Allah, tous les musulmans sont des guerriers d’Allah, c’est écrit dans le coran :
Coran 8:39, leur faire la guerre jusqu'à la fin de l'idolâtrie et la religion d'Allah régnera.
Comment faire confiance à cet islam qui enseigne la guerre et le meurtre ?
En Angleterre, les islamistes prennent possession des villes et appliquent la charia en déclarant que c’est la seule loi qu’ils reconnaissent, la loi du pays dans lequel ils vivent n’est pas la loi.
Nous devrions respecter la loi et pas eux ?
Alors, nous vivrons dans un pays sans lois, c’est ce qu’ils parviendront à obtenir, ceux qui nous gouvernent.
L’avenir de l’Europe est le plus sombre que l’on ait connu depuis l’arrivée d’Hitler à Paris, manifestez votre intention de préserver la paix et votre opposition à aller frapper le gouvernement Syrien, sous prétexte d’éliminer les terroristes que notre gouvernement a lui-même financés en leur envoyant des armes de destruction, en leur fournissant des bombes chimiques.
L’heure est grave, pour nous, pour vous, pour nos enfants...
Chacun doit se préparer au pire, car derrière le flux migratoire est inscrit en lettre d’or sur le livre des démons :
- La guerre est un serpent qui grandira dans les entrailles de son ennemi pour le dévorer de l’intérieur[5].
Je n’ai pas rédigé la déclaration qui suit, mais je m’accorde à penser qu’elle est juste et que cette mise en garde est à prendre avec le plus grand sérieux.
Nous devons signifier à notre gouvernement que nous sommes contre un bombardement en Syrie qui ira soi-disant toucher, comme les bombardements turcs, les bases d’Isis, alors qu’ils bombardent les Kurdes qui se battent justement contre Isis.
Le président Hollande est le représentant du peuple, il agit sans l’accord du peuple, au détriment de ses intérêts, le « président, fonctionnaire et serviteur, jurait fidélité au peuple souverain[6] ? »
Où est passé l’honneur souverain de ce président ?
en conclusion je citerais le président Syrien qui déclarait en 2013 :
"Le terrorisme ne s'arrêtera pas ici, il s'exportera en Europe à travers l'immigrations clandestine"
Bachar el-Assad
Nous vivons une époque formidiable…
"AVERTISSEMENT AUX MILITAIRES FRANÇAIS.
MILITAIRES FRANÇAIS, EN INTERVENANT EN SYRIE VOUS PARTICIPEZ A UNE GUERRE TOTALEMENT ILLÉGALE ET VOUS NE POURREZ AUCUNEMENT VOUS PRÉVALOIR DU DROIT INTERNATIONAL FACE AUX ACTIONS DÉFENSIVES LÉGITIMES DU PEUPLE SYRIEN, DES FORCES ARMÉES SYRIENNES ET DE LEURS ALLIES, DONT LA FÉDÉRATION DE RUSSIE.
La décision de la France d’intervenir militairement en Syrie au motif de vouloir détruire l’organisation terroriste islamiste Daech afin de rétablir la paix dans cette région est une décision fondée sur un MOTIF TOTALEMENT FALLACIEUX d’une part et est TOTALEMENT ILLÉGALE sur le plan du droit international d’autre part .
L’État légitime syrien n’a absolument rien demandé à la France.
Nul doute que la décision française d’intervenir en Syrie tend au contraire, chacun le sait, un proche avenir le confirmera, à soutenir l’organisation Daech, véritable légion mercenaire arabe à la solde de l’occident, d’Israël et de leurs alliés que sont les Monarchies du Golfe au travers d’une vitrine identifiée sous le vocable -d’Armée Syrienne libre ( ASL)- qui n’existe que par le nom, aux fins de renverser par l’emploi d’une extrême violence l’état syrien qui est non seulement LÉGAL, mais qui prouve sa légitimité par la résistance acharnée du peuple syrien depuis plus de 4 ans .
A contrario la décision prise concomitamment par le Président Vladimir Poutine au nom de la Fédération de Russie d’assister entre autres militairement la Syrie s’exerce sur demande express de l’État syrien et est du point de vue du Droit international d’une légalité absolue.
Chacun pourra observer que la décision de la France d’intervenir dans le conflit intérieur syrien n’aura pas été, préalablement, déférée aux Nations Unies ( ONU ) alors qu’il s’agit d’une règle onusienne substantielle, que la Syrie, État souverain, est membre de l’ONU, la France étant en plus membre permanente du Conseil de Sécurité de l’ONU.
Dans ces conditions, considérée à l’aune du droit international la décision ILLÉGALE du gouvernement français débouche inexorablement sur un unilatéralisme préjudiciable au bon ordre établi par le droit international et, au surplus, aura surement des conséquences extrêmement coûteuses pour le peuple Français.
S’agissant de notre Droit National; conformément à la Constitution, les Présidents de l’Assemblée Nationale et du Sénat ont été informés dans la journée du 7 septembre 2015 de la décision Présidentielle mais aucun vote des parlementaires des deux chambres ne devrait intervenir avant que ne se soit écoulé un délai de 4 mois.
Pendant que le Président Hollande s’affaire à sa petite guerre ILLÉGALE ET ILLÉGITIME qu’il n’a, par ailleurs, pas les moyens de conduire, force est de constater sur le front de l’emploi et des finances publiques, le pays poursuit malheureusement son inexorable descente aux enfers.
L’un explique sans doute l’autre.
MILITAIRES FRANÇAIS, EN INTERVENANT EN SYRIE VOUS PARTICIPEZ A UNE GUERRE TOTALEMENT ILLÉGALE ET VOUS NE POURREZ AUCUNEMENT VOUS PRÉVALOIR DU DROIT INTERNATIONAL FACE AUX ACTIONS DÉFENSIVES LÉGITIMES DU PEUPLE SYRIEN, DES FORCES ARMÉES SYRIENNES ET DE LEURS ALLIES, DONT LA FÉDÉRATION DE RUSSIE.
MILITAIRES FRANÇAIS, IL EST ENCORE TEMPS, REFUSEZ D’AGIR DE MANIÈRE ILLÉGALE."
[1] Bachar el-Assad http://www.medias-presse.info/bachar-el-assad-qui-a-donc-cree-letat-islamique-la-syrie-ou-les-etats-unis/19738
[2] http://www.medias-presse.info/bachar-el-assad-qui-a-donc-cree-letat-islamique-la-syrie-ou-les-etats-unis/19738
[3] Victor Hugo, Napoléon le petit
[4] Victor Hugo, Napoléon le petit
[5] Philippe A. Jandrok
[6] Victor Hugo, Napoléon le petit