Personne ne court plus vite qu’une balle de Michel Embareck
Par Delfina
Présentation de l’éditeur
Pourquoi Flaco Moreno, chanteur français connu pour ses tubes à consonance hispanique et des prises de position altermondialistes, s’est-il suicidé à La Nouvelle-Orléans, où il était venu enregistrer son nouveau disque ? Les parents du défunt, persuadés que leur fils au bonnet péruvien totémique a été assassiné, chargent Victor Boudreaux, le privé migraineux aux méthodes expéditives, d’éclaircir le mystère. Une enquête qui le conduira dans les bayous de Louisiane, puis dans la jungle du Vietnam avant de le ramener à Saproville-sur-Mer, la ville de toutes les corruptions.
Mon avis
Je suis très embêtée pour faire la chronique de ce polar de Michel Embareck car je n’ai pas réussi à me plonger dedans et à m’imprégner de l’histoire pourtant le quatrième de couverture me donnait envie…. C’est rare mais cela arrive. Toutefois, je suis allée jusqu’au bout de ma lecture. Le postulat de départ est séduisant : une enquête sur la pendaison d’un chanteur français venu trouver l’inspiration à la Nouvelle-Orléans… Suicide ou meurtre ? Victor Boudreaux, détective privé à la retraite entraînant une équipe de lancer de marteau, va être mis sur l’affaire par les parents du défunt et part entre autres à la recherche d’une certaine Mme Li qui semble être un personnage essentiel à l’enquête révélant des trafics et de la corruption.
Malgré une ambiance bien présente, je n’ai pas réussi à apprécié ce livre… Cela est peut-être du à l’écriture de Michel Embareck qui est certes vive (un peu trop à certains moments ?) mais qui ne m’a pas emportée ou aux personnages souvent caricaturaux qui m’ont laissée de marbre. Je ne peux pas nier qu’il y a de l’humour mais je n’ai pas réussi à y adhérer…
Une nouvelle lecture de Personne ne court plus vite qu’une balle est sans doute nécessaire d’ici quelques temps afin de voir si je peux apprécier ce polar dans d’autres conditions… En attendant, à vous de vous faire votre propre opinion!
Je remercie les éditions l
‘Archipel ainsi que LP conseils pour l’envoi de Personne ne court plus vite qu’une balle de Michel Embareck