Rude travail d’avoir à rattraper toutes les publications du mois dernier , ceci à cause de mon besoin de récupération après opération ..….
Aussi je vous propose pour cette première partie plutôt des résumés que des traductions complètes !
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1 :RESUME
Physicists get a surprise when watching quasicrystals grow
Error-correction process maintains complicated
Les premiers "films" de la croissance d’un quasicristal révèlent qu'un processus de correction d'erreur inattendue serait impliqué dans la création de ces structures curieuses. Prises par les physiciens de l'Université de Tokyo, les images haute résolution suggèrent que des interactions à courte portée dominent le processus de formation - plutôt que les interactions à longue portée….
Tous les cristaux classiques sont caractérisés par la répétition de cellules unitaires d'atomes, qui se combinent pour créer une structure simple avec symétrie de translation. Cette symétrie signifie que si un observateur devait se déplacer d'une cellule à l'autre, l’environnement serait exactement le même . Ces cristaux se forment par l'intermédiaire d’ interactions locales à courte portée entre les cellules unitaires, parce que leur croissance consiste à répéter tout simplement un modèle unique.
Pour les quasi cristaux, c’est différent : ils perdent cette structure périodique répétitive …Ils sont modélisés en en tant que deux cellules élémentaires appelées tuiles de Penrose - - pour créer une structure qui présente une symétrie de rotation mais manque de symétrie de translation.
La croissance des quasicristaux semble exiger pour les atomes d'avoir à long terme, des interactions non locales uns avec les autres - et c’est quelque chose qui n'a pas une explication physique. Le problème est que chaque grappe atomique dans un quasi-cristal ne devrait avoir des informations que sur ses voisins immédiats, et devrait donc manquer des informations nécessaires à long terme pour les modèles quasi-cristallins.
Keiichi Edagawa de l’ Université de Tokyo et collègues ont utilisé une variante de microscopie electronique pour observer la croissance d’un quasicristal dans un alliage d’aluminium, nickel ,cobalt.
Ces observations sont décrites dans Physical Review Letter ; l’auteur de l’article de PHYSICS WORLD est Katherine Kornei
Mon commentaire :
Les cristaux se forment dans la nature par la méthode dite d ‘ « essais et d’erreurs » et il semble possible que d’après les auteurs il y ait dérogation subtile a ces règles pour les quasi cristaux ….L'étude des quasicristaux s'étend actuellement sur tous les domaines de la physique tant le caractère atypique de ces structures locales a une large incidence sur ses différentes propriétés physiques …..N OUBLIEZ PAS LE POIDS CROISSANT DE LA TECHNOLOGIE DANS DIVERS DOMAINES TRES PAYANTS ET BREVETABLES !….
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2:RESUME
GRAND plans for new neutrino observatory
5 comments
Vast radio array would observe universe via high-energy neutrinos
Un nouveau radiotélescope, actuellement conçu par des scientifiques en France, Chine et d'autres pays, pourrait faire la lumière sur certains des phénomènes cosmiques les plus violents de l'univers. Si elle est construite, cette installation dite « Arrangement Radio géant pour la détection de neutrinos (« GRAND ») – comprendrait t des centaines de milliers d'antennes réparties sur une zone légèrement plus petite que le Royaume-Uni –et permettrait de détecter des neutrinos de très haute énergie en provenance de l'espace profond. Selon les chercheurs, GRAND serait considérablement moins cher à construire que les télescopes rivaux basés sur la technologie optique.
Comme ils sont tellement insaisissables, d'énormes détecteurs sont actuellement nécessaires pour les détecter sur une échelle de temps raisonnable.
L'installation actuelle du leader en ce domaine le détecteur IceCube 275m $, utilise des milliers de tubes photomultiplicateurs enfouis en suspension profondément dans la glace au pôle Sud. Cependant, le coût élevé des tubes photomultiplicateurs limite le volume global d'un tel détecteur, créant ainsi une limite supérieure à l'énergie des neutrinos qui peuvent être capturés - en particulier parce que les plus énergiques qui sont aussi les plus rares. IceCube a empoché environ 100 neutrinos de l'espace lointain , mais il est peu probable de détecter tout ce qui presente une énergie bien au-dessus de 10 puissance 15 eV.
Et plutôt que de détecter de la lumière, GRAND va ramasser des signaux radio - parce des antennes radio s c’est moins chers à fabriquer que leurs équivalents optiques, donc un détecteur beaucoup plus grand peut être construit. Le programme repose sur des neutrinos tauique générant ainsi des leptons tau qui produisent des gerbes de particules secondaires lorsqu'ils se désintègrent dans l'atmosphère. Le rayonnement synchrotron émis par les averses de particules chargées serait détecté par les antennes.
Olivier Martineau-Huynh à l'Institut national de physique nucléaire et des particules (IN2P3) à Paris, avec des collègues du monde entier, a élaboré un plan de base pour le détecteur. GRAND appelle à une antenne par kilomètre carré, sur une superficie d'environ 200.000 km2. Chaque "unité de détection" serait composé de l'antenne en forme de papillon et perpendiculaire trois (photo) reliée à une unité GPS qui minuterait et tracerait les trajectoires des neutrinos entrants. Ces antennes seraient placées sur ou autour des montagnes .
Radio eyesOlivier Martineau-Huynh at the National Institute of Nuclear and Particle Physics (IN2P3) in Paris, together with colleagues
Les chercheurs disent que leur dispositif serait sensible aux neutrinos avec des énergies allant jusqu'à environ 10 puissance 20 eV. Sa conception est telle qu’environ 100 neutrinos " cosmogéniques» - devraient être détectée par an.
Selon Martineau-Huynh, les observations de GRAND devraient aider à résoudre des questions de longue date posées sur la nature et la composition des rayons cosmiques de haute énergie, et répondant exactement à quels processus énergétiques il se produisent.
Edwin Cartlidge est ecrivain pour PHYSICS WORD
MON COMMENTAIRE
Certes , de une petite antenne en ferraille c’est moins cher qu’un photo multiplicateur mais m obiliser 200000 de ces antennes sur un carré de 500 par 500 km nécessite 200000 volontaires § Et le resultat n’est pas garanti …Ça me fait fortement penser à l’installation PIERRE AUGER des gauchos de PATAGONIE courant après des rayons cosmiques !
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3/RESUME
Imaging the polarity of individual chemical bonds
1 comment
New variation of atomic force microscopy can observe subtle charge imbalances
12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">12C18Hg3 and H12C18Hg3. (Courtesy: F Albrecht et al., Phys. Rev. Lett. 115 076101)">Subtle bonds: mapping the bonds for F12C18Hg3 and H12C18Hg3
Une nouvelle microscopie à force atomique (AFM), serait une technique qui permettrait aux utilisateurs de détecter avec précision et même cartographier la distribution des charges dans les molécules Elle vient d’être développée par des chercheurs en Europe ( Jascha Repp , Université de Regensberg ; Allemagne et collègues ) . L'équipe a utilisé cette méthode pour démontrer la différence en lien de polarité entre deux molécules structurellement identiques mais chimiquement distinctes. Elle espère la technique pourrait un jour être utilisée pour cartographier et suivre les mouvement de charge dans les matériaux photovoltaïques - c’est à dire quelque chose qui pourrait aider à améliorer les cellules solaires.
C’est en 1991, qu’ une variante de l'AFM – surnommée KPFS - a été inventée, et est utilisée pour mesurer la répartition de charge sur une surface. Comme une pointe nanométrique oscille à une distance infime de la surface, une tension de polarisation est appliquée entre les deux. Le principe est simple :une pointe chargée de taille nano se déplace près de la surface… L'interaction électrostatique avec la surface pousse et tire sur l'extrémité, en changeant sa fréquence d'oscillation. En mesurant la fréquence à différents points, on peut calculer la différence de potentiel entre la pointe et la surface, et ainsi en déduire la distribution de la surface de charge électronique
C’est publié sur Physical Review Lette
Tim Wogan est auteur à PHYSICS WORLD
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MON COMMENTAIRE /
La surface d’une molécule à l’état de solide est déformée par différentes forces et les nuages électroniques y sont le résultat complexe du principe d’exclusion de PAULI ,ainsi que des forces de LONDON qui distribuent les électrons en créant les forces dites de VAN DER WALLS responsables du dipôle formé et de l’adsorption de molécules X ou Y autres sur ces surfaces …. JE SOUHAITE BON COURAGE aux auteurs pour discriminer alors les charges électroniques des uns et des autres sur une surface , non placée sous vide extrême ……
A suivre