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Universités françaises sous-influence islamique : réalité ou fiction ?

Publié le 07 septembre 2015 par Halleyjc

Rédigé par Louis Blase le 19 mai 2015.

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Rapporté par l’hebdomadaire Marianne, pas moins de 4 800 heures indues ont été portées aux emplois du temps d’enseignants qui ont tous en commun d’être les copains de Rachid Zouhhad, un maître de conférence en gestion à l’IUT de Saint-Denis. A ceci s’ajoute l’embauche de personnels non qualifiés et de 23 vacataires sans signature préalable de contrat.

Le Directeur de l’IUT de Saint-Denis, Samuel Mayol après avoir découvert qu’une association interne, «L’Ouverture», cachait des tapis de prière dans l’université et vendait sans autorisation des sandwichs halal, en a rédigé un rapport à l’attention de son autorité de tutelle.

Mis en cause, Rachid Zouhhad n’a pas manqué de juger ce rapport «partial», «truffé de préjugés racistes» et «de motifs anti-syndicaux». Un de ses comparses également enseignant à l’IUT, Hamid Belakhdar, Twitte à tour de sabre dénonçant « l’islamophobie », « la complicité des médias » et « la chasse aux Arabes » à l’IUT. Ces deux éminences du monde syndical teinté à gôche sont membres de «SupAutonome FO».

Après avoir dénoncé cette dérive communautariste caractérisée, le Directeur de l’IUT reçoit des menaces de mort, ainsi que six autres membres du personnel qui se sont mis en retrait de leur établissement, se sentant menacés. Cette situation qui pourrit depuis un an maintenant, révèle l’immobilisme mortel du ministère de l’Education Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Au même moment le campus de Dhar el Mehraz (70 000 étudiants), à Fès la deuxième ville du Maroc fait l’actualité : Cette université a été récemment le théâtre d’empoignades sanglantes entre les islamistes, nouveaux arrivants, et les marxistes anciennement implantés, désignés par le vocable «basistes». La vague islamiste a déferlé sur les campus marocains à partir de 1990, et les tensions n’ont jamais cessé de monter, notamment à Fès…

… Jusqu’à ce que le 24 avril 2014, de violents affrontements au sabre et au couteau éclatent entre étudiants gauchistes et islamistes, faisant un mort parmi ces derniers, Abderrahim Hasnaoui 21 ans. D’après les compte-rendus de la presse marocaines, les affrontements ont éclaté après une tentative des étudiants marxistes d’empêcher une table-ronde organisée par les islamistes. Ainsi, le drame à suivi les empoignades.

Les basistes dénoncent de leur côté une provocation et une « descente » islamiste et continuent de dénoncer l’assassinat d’un des leurs, Mohamed Ait Ljid, survenu en 1993 sur le campus. Par ailleurs, rien qu’à Fès, plus de 50 étudiants ont été interpellés par la police pour violences depuis le début de l’année scolaire. Les ONG de leur coté dénoncent «une militarisation» des universités marocaines, conséquence sécuritaire des affrontements claniques et armés au sein des universités. Est-ce cela qui nous attend en France ?

A Saint-Denis, autrefois en France et en paix, le Directeur de l’IUT et six autres membres de l’établissement sont régulièrement menacés de mort depuis un an. Simples intimidations ou menaces réelles ? L’Université de Paris XIII dont dépend l’IUT n’a pas vraiment envie de perdre du temps en cogitations pendant que la menace se précise. Effectivement, Monsieur Mayol en plus d’être harcelé chaque semaine, vient d’être physiquement agressé en mai 2014 en pleine rue de Paris, un signe plutôt inquiétant.

Profitant d’un spot médiatique de la ministre de l’Education Nationale sur une radio du service public, le directeur de l’IUT de Saint-Denis a interpellé directement Najat Vallaud-Belkacem. Le procédé peut surprendre, mais avait-il le choix ?

http://24heuresactu.com/2015/05/19/universites-francaises-sous-influence-islamique-realite-ou-fiction/

Voir la (in)pertinente ordonnance délivrée par le Dr WO :

http://obraska.eklablog.fr/la-violence-est-inculte-mais-perseverante-a118661310

Rapporté par l’hebdomadaire Marianne, pas moins de 4 800 heures indues ont été portées aux emplois du temps d’enseignants qui ont tous en commun d’être les copains de Rachid Zouhhad, un maître de conférence en gestion à l’IUT de Saint-Denis. A ceci s’ajoute l’embauche de personnels non qualifiés et de 23 vacataires sans signature préalable de contrat.

Le Directeur de l’IUT de Saint-Denis, Samuel Mayol après avoir découvert qu’une association interne, «L’Ouverture», cachait des tapis de prière dans l’université et vendait sans autorisation des sandwichs halal, en a rédigé un rapport à l’attention de son autorité de tutelle.

Mis en cause, Rachid Zouhhad n’a pas manqué de juger ce rapport «partial», «truffé de préjugés racistes» et «de motifs anti-syndicaux». Un de ses comparses également enseignant à l’IUT, Hamid Belakhdar, Twitte à tour de sabre dénonçant « l’islamophobie », « la complicité des médias » et « la chasse aux Arabes » à l’IUT. Ces deux éminences du monde syndical teinté à gôche sont membres de «SupAutonome FO».

Après avoir dénoncé cette dérive communautariste caractérisée, le Directeur de l’IUT reçoit des menaces de mort, ainsi que six autres membres du personnel qui se sont mis en retrait de leur établissement, se sentant menacés. Cette situation qui pourrit depuis un an maintenant, révèle l’immobilisme mortel du ministère de l’Education Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Au même moment le campus de Dhar el Mehraz (70 000 étudiants), à Fès la deuxième ville du Maroc fait l’actualité : Cette université a été récemment le théâtre d’empoignades sanglantes entre les islamistes, nouveaux arrivants, et les marxistes anciennement implantés, désignés par le vocable «basistes». La vague islamiste a déferlé sur les campus marocains à partir de 1990, et les tensions n’ont jamais cessé de monter, notamment à Fès…

… Jusqu’à ce que le 24 avril 2014, de violents affrontements au sabre et au couteau éclatent entre étudiants gauchistes et islamistes, faisant un mort parmi ces derniers, Abderrahim Hasnaoui 21 ans. D’après les compte-rendus de la presse marocaines, les affrontements ont éclaté après une tentative des étudiants marxistes d’empêcher une table-ronde organisée par les islamistes. Ainsi, le drame à suivi les empoignades.

Les basistes dénoncent de leur côté une provocation et une « descente » islamiste et continuent de dénoncer l’assassinat d’un des leurs, Mohamed Ait Ljid, survenu en 1993 sur le campus. Par ailleurs, rien qu’à Fès, plus de 50 étudiants ont été interpellés par la police pour violences depuis le début de l’année scolaire. Les ONG de leur coté dénoncent «une militarisation» des universités marocaines, conséquence sécuritaire des affrontements claniques et armés au sein des universités. Est-ce cela qui nous attend en France ?

A Saint-Denis, autrefois en France et en paix, le Directeur de l’IUT et six autres membres de l’établissement sont régulièrement menacés de mort depuis un an. Simples intimidations ou menaces réelles ? L’Université de Paris XIII dont dépend l’IUT n’a pas vraiment envie de perdre du temps en cogitations pendant que la menace se précise. Effectivement, Monsieur Mayol en plus d’être harcelé chaque semaine, vient d’être physiquement agressé en mai 2014 en pleine rue de Paris, un signe plutôt inquiétant.

Profitant d’un spot médiatique de la ministre de l’Education Nationale sur une radio du service public, le directeur de l’IUT de Saint-Denis a interpellé directement Najat Vallaud-Belkacem. Le procédé peut surprendre, mais avait-il le choix ?

http://24heuresactu.com/2015/05/19/universites-francaises-sous-influence-islamique-realite-ou-fiction/


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