Même si, le week-end approchant, les nuages vont sans doute en faire autant, il faut néanmoins commencer sérieusement à songer à l’été et à ses corollaires chimiques : l’antimoustique et la crème solaire.
Si cette dernière est parfois accusée de tous les maux, à commencer par celui de donner l’illusion de protéger des UV (à condition de s’en tartiner d’une dose tellement ad hoc que les moustiques alléchés …Stop. Je sens que je suis mauvaise langue !), elle est au final efficace dans l’anti-bronzage au-delà de ce qui était prévu initialement : non seulement elle garantit à mademoiselle Marguerite un teint pâle qui aurait fait se pâmer d’envie ses contemporaines si elle avait vécu au XVIIIè siècle, mais elle fait carrément palir les coraux ; la preuve en cliquant ci-dessous :
Coraux : la menace des crèmes solaires