Le récit se déroule avec lenteur et fluidité, épousant en quelque sorte les Années de pèlerinage de Franz Liszt auxquelles il est fait souvent allusion dans le roman. En particulier une pièce de la première partie, « Le mal du pays », qui utilise les tempos suivants : Lento, Adagio dolente, Lento, Andantino, Adagio dolente, Più lento. C’est aussi le rythme auquel on le lit : confortable, malgré toutes les questions que s’y pose Tsukuru sur son identité et sa place par rapport aux autres.
Le récit se déroule avec lenteur et fluidité, épousant en quelque sorte les Années de pèlerinage de Franz Liszt auxquelles il est fait souvent allusion dans le roman. En particulier une pièce de la première partie, « Le mal du pays », qui utilise les tempos suivants : Lento, Adagio dolente, Lento, Andantino, Adagio dolente, Più lento. C’est aussi le rythme auquel on le lit : confortable, malgré toutes les questions que s’y pose Tsukuru sur son identité et sa place par rapport aux autres.