En été, quand on est sec, à terre, la nuit, dehors, à la fraîche alors qu'on n'est pas très frais, pas plus frais que les merguez bizarres avalées plus tôt, avec le pastag, pas frais non plus, on regarde le ciel, et on peut se persuader que ces points lumineux sont autant de trous dans un mur obscur, que les oiseaux sont des monstres, qu'il n'y a pas de minuit qui tienne, que le réveil sera difficile. Quatrième rasade de la compile du gros Rosé : Birdmonster : All the holes in the walls (mp3)